Toujours prompt à adopter une communication innovante, les vins Casanova prennent le virage de la réalité augmentée avec Mad Monkeys. Première marque Corse à s’approprier la technologie de la réalité augmentée, nous lançons en cette fin d’année 2018 une opération inédite : #CasanovaAR.
Qu’est-ce #CasanovaAR ?
Casanova pour Casanova🤓
AR pour Augmented Reality (réalité augmentée in french 🇫🇷)
Après #CasanovaStory et #DIYCasanova, la marque régionale Casanova des Vignerons d’Aghione nous laisse une fois encore carte blanche pour proposer une expérience inédite et innovante à ses consommateurs à travers #CasanovaAR.
Grâce à la réalité augmentée, les utilisateurs sont invités à entrer dans l’univers des vins Casanova. Ils peuvent désormais vivre une expérience unique à l’aide de leur smartphone ou tablette en scannant les étiquettes.
Dès lors du contenu exclusif apparaîtra pour guider leur dégustation.
Pour cela :
Téléchargez l’application SnapPress (disponible gratuitement sur Google Play ou Itunes )
Scannez les étiquettes de vins Casanova
Découvrez du contenu exclusif
Pour cette première opération, 10 étiquettes de vins ont été augmentées. Le choix s’est porté sur les gammes présentes sur le circuit de la grande distribution. De cette façon, le consommateur pourra durant son achat en magasin obtenir instantanément des informations sur le produit. Mais c’est également une façon pour la marque de créer du lien avec son consommateur en l’invitant à rejoindre ses réseaux sociaux et contacter directement le producteur.
Le contenu proposé à l’utilisateur sera régulièrement mis à jour en fonction de l’actualité de la marque.
Déploiement de #CasanovaAR
Durant plusieurs semaines, des visuels et vidéos explicatives seront diffusés sur l’ensemble des réseaux sociaux de la marque afin de permettre aux différentes communautés de s’approprier le concept.
Un Communiqué de Presse a également été créé et envoyé à l’ensemble de la presse locale insulaire (il s’agit d’une opération unique en Corse (!!!)), la presse spécialisée viticole ainsi que la presse spécialisée Tech.
Histoire d’avoir un aperçu… Si vous n’avez pas de bouteilles de vins Casanova à portée de main, vous pouvez scanner directement le visuel ci-dessous :
Concrètement, qu’est-ce que la réalité augmentée ?
LA RÉALITÉ AUGMENTÉE (ou AR) est l’incrustation d’éléments virtuels (sons, images 2D, objets 3D, vidéos…) dans le monde réel.
Les marques sont de plus en plus nombreuses à s’ouvrir à la réalité augmentée (à ne pas confondre avec la réalité virtuelle) pour offrir une expérience client/ consommateur toujours plus riche en contenu et en interaction. Selon Tomi Ahonen, expert en technologie mobile, « La réalité augmentée va s’imposer comme le huitième média grand public ».
En effet, elle est désormais accessible à (presque) tout le monde.
La réalité augmentée est accessible à toute personne disposant d’un smartphone ( + 73% de la population française¹). Pour #CasanovaAR, il suffira à l’utilisateur de télécharger gratuitement l’application SnapPress² disponible sur GooglePlay et Appstore.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération
¹ Source : Baromètre numérique 2017 , équipement. usages et compétences numériques des français – CRÉDOC 2017
² Mad Monkeys Consulting est partenaire de SnapPress, première agence de communication à proposer la réalité augmentée en Corse et Paca.
Le bien-être au travail passe aussi par un cadre de travail agréable. Pour être efficace, productif ET créatif, l’émotion doit transparaître à travers l’environnement dans lequel nous évoluons. En tant qu’agence de communication, la décoration de nos locaux est une chose importante. Pour nous, et également pour nos visiteurs et clients. Ils doivent pouvoir ressentir l’esprit de notre entreprise en pénétrant dans nos bureaux. Le visuel et le ressenti sont donc primordiaux; d’autant plus lorsque l’on parle de communication et de marketing.
Nos activités tournent autour des réseaux sociaux et du web en général. Nous sommes partis à la recherche d’artistes 2.0. Bien entendu, ces recherches ont été effectuées sur le net et particulièrement sur Pinterest et Google plus. En effet, ce sont les deux réseaux sociaux ayant le plus de sens actuellement et dont les évolutions semblent quasi infinies : ils font la part belle aux visuels et à la créativité. Ce constat n’engage que moi, du fait de notre implantation géographique à Bastia en Corse, beaucoup ne jurant que par Facebook… Heureusement, malgré notre insularité nous ne sommes pas cloisonnés.
Voici une sélection d’affiches social media :
Aaron Wood: the social propagandist
Aaron Wood – à ne pas confondre avec Aaron Woods le rugbyman – est un graphiste américain freelance qui commercialise ses œuvres sur le site Etsy. Ces œuvres sont inspirées des affiches de propagande de la seconde guerre mondiale avec l’oncle Sam.
Encore des affiches Vintages…
Brian Lane Winfield Moore est dans le même style que Aaron Wood, mais en moins minimaliste. Ça fait aussi son effet…
Ces artistes ne sont pas les premiers dans le genre. En 2010, l’agence de communication brésilienne Moma a réalisé un série de fausse affiches publicitaires vantant nos très chers réseaux sociaux : youtube, skype, facebook et twitter.
Voilà pour nos coups de cœur. Vous l’aurez compris, on aime bien le vintage et le détournement chez Mad Monkeys Consulting. On en a même craqué pour deux d’entres elles…
Les premières images de Star Wars épisode VII baptisé « The force awakens » (ou l’éveil de la force, selon mon modeste niveau d’anglais) seront diffusées dans un nombre limité de salles de cinéma aux Etats-Unis ce vendredi (mais aussi sur Itunes) . Autant dire que, comme pour la « Menace fantôme », beaucoup de fans paieront leur place uniquement pour voir cette bande annonce. C’est un beau coup marketing pour Disney car le film qui suivra n’est autre que « Les nouveaux héros », leur nouveau film d’animation. Ils sont forts chez Disney tout de même.
Depuis l’annonce du rachat LucasFilm par Disney et la mise en chantier de nouveaux films Star Wars, c’est l’effervescence dans l’immense communauté des fans. On va avoir droit à une nouvelle trilogie faisant suite à celle originelle ainsi que de plusieurs spin-off . Les rumeurs vont bon train sur ce que pourrait être le scénario de tous ces films, toutes aussi plausibles que farfelues. Luke a-il basculé du coté obscur? Le premier spin off aura-t-il pour trame principale le vol des plans de l’étoile noire et serait donc un prequel à l’épisode IV? Jar Jar est-il mort dans d’attroces souffrances? Autant de questions qui fusent sur le net. Comment rassurer les fans du monde que l’univers Star Wars ne perdra pas son âme avec Disney aux commandes (même si pour certains la prélogie a déjà violé les fanboys). Surtout après le denis de l’univers étendu (livre, bande dessinée, jeux vidéos). Car il était établi que l’univers étendu, approuvé par Georges Lucas faisait partie d’un seul et même ensemble. Donc pas d’épisode VII avec l’amiral Thrawn… snif (à priori…). Et pas de Mara Jade non plus…
Mais fort heureusement, les producteurs ont compris l’impact qu’un nouveau Star Wars pourrait avoir dans le monde. Ils ont mis en place une stratégie de communication digitale de grande envergure en investissant les réseaux sociaux d’une manière aussi subtile qu’efficace. En se servant des avantages du net 2.0, les producteurs et le réalisateur J.J. Abrams impliquent les fans dans cette chasse aux indices. De ce fait ils controlent intelligemment les fuites d’informations. Bien que Disney et Lucas Film aient pas mal d’expérience dans le domaine, c’est bien la société de notre chère Abrams, Bad Robot qui semble chapeauter le tout avec maestria.
La stratégie transmédia de JJ Abrams
Le buzz Lost
J.J. Abrams n’en est pas à son coup d’essai. Petit rappel pour les néophytes, J.J. est celui derrière les séries Alias, Fringe et surtout Lost. Lost, son lancement en 2004, avait crée le buzz sur internet. Avec sa société de production Bad Robots, il avait crée tout un tas de sites ou de références comme par exemple le site internet de Oceanic Airline (la compagnie aérienne fictive du crash) ou même une page fan du groupe de rock de Charlie Pace (http://iheartdriveshaft.blogspot.fr/). Il avait crée un véritable jeu de piste pour l’internaute qui voulait aller plus loin dans l’intrigue, car la série pouvait être plus qu’avare en explication. Malgré que la fin soit comment dire, insuffisante, Lost aura attisé la curiosité des fans du monde entier cherchant des réponses inlassablement, partageant sur les réseaux sociaux ou les forums leurs différentes théories. J.J. et son équipe avait réussi un coup de maître empêchant une annulation prématurée grâce à cette base d’addicts. Pour Fringe il utilisera la même recette (rappelez vous les images subliminales) pour créer des interactions avec les téléspectateurs. Il est donc un spécialiste des stratégies transmédias, c’est à dire qu’il développe son concept sur différents médias (télévision, internet, jeux vidéo etc…) apportant un degré de lecture différent à chaque fois.
D’ailleurs, il a écrit un livre totalement dans cette esprit interactif mais cette fois-ci le média littéraire. Le roman S sorti l’année dernière est une véritable curiosité, un livre dans le livre. Voici le teaser vidéo au cas où cela intéresserait quelqu’un pour les fêtes de noël.
Bad Robots roi du viral marketing
Sa société de production est aussi une spécialiste dans le teasing. Le teasing est une technique de communication en plusieurs étapes qui vise à éveiller la curiosité et à susciter une attente. On dévoile petit à petit le projet tout en restant mystérieux.
Mais ici, cette notion de teasing est exacerbée par la viralité que peut conferer internet. En effet, Bad Robots est passé maître dans l’art de faire le « buzz ». La stratégie est simple mais diablement efficace: mettre en ligne une vidéo énigmatique et la partager sur les réseaux sociaux tout en entretenant un background mystérieux. Cela attise indubitablement la curiosité de l’internaute ce qui le pousse à interagir, et donc à partager ce lien. Tout le monde se souvient de la campagne virale autour de « Cloverfield » ou de « Super 8 » deux productions estampillées J.J. Abrams.
La communication autour de l’épisode VII
Abrams est celui qui a déja ressucité avec succès la franchise Star Trek. Il lui faut maintenant convaincre les fans de Star Wars qu’il est bien l’homme de la situation et le garant de cette institution. Sa stratégie de communication est pour cela parfaitement huilée. Même s’il doit composer avec Disney et Lucas Film, on sent bien la patte Bad Robots.
Après la fuite d’images du tournage montrant ce qui semble être le Faucon Millenium , J.J., plutôt que d’utiliser les habituels organes de presse, répond sur Twitter avec humour. Cela n’a rien d’anodin, il sait qu’en agissant ainsi il instaure un dialogue pour impliquer les fans. Un démenti aurait eu moins d’impact.
« Je voudrais que les gens arrêtent de publier des photos volées de l’épisode VII. Et de faire des allégations ridicules à propos du fait que le Faucon Millenium soit le film. J.J. » Ce message est assez distant sur la forme mais c’est sans compter sur l’élément du décor sur lequel est posée la note. Les fans invétérés (dont Mad Monkeys) auront remarqué la table de Dejarik sur lequel JJ a posé son papier. Le Dejarik est un jeu de stratégie se jouant sur un damier (une sorte de jeu d’échec avec les créatures de l’univers Star Wars), or Chewbacca et C3PO y jouent dans le … Faucon Millenium.
JJ utilise ce stratagème régulièrement comme lors l’annonce du gagnant du concours Force For Chance organisé par l’UNICEF.
Mais à qui appartient cette main? Est ce celle de Luke? Celle d’un nouveau droid? Celle du grand méchant? Et si le grand méchant était Luke ?
D’ailleurs avec cette campagne caritative Force For Chance visant à récolter des fond pour l’UNICEF, le réalisateur a encore joué sur ce fan service au travers de deux vidéos. Ces vidéos servent avant tout à motiver les fans à faire un don mais pas que…
Cette campagne caritative a eu son petit succès. L’appel aux dons pour l’UNICEF est bien sure un élément moteur mais la façon dont il les motive est dans la même veine que ses tweets. Il appelle à la générosité depuis le plateau de tournage en incluant en arrière plan des références à l’univers de Georges Lucas. C’est une façon ludique encore une fois d’impliquer les fans dans le processus de création et d’aussi contrôler les fuites.
Mais J.J Abrams n’est pas le seul à utiliser internet de cette manière dans l’industrie du cinéma. Zack Snyder, par exemple, utilise son compte Twitter pour publier régulièrement des photos de ses tournages. Le réalisateur de « Batman v Superm.an » est aussi un grand fan de Star Wars (il était aussi préssenti comme réalisateur) et il a décidé de s’amuser avec les gars de Bad Robots en mélangeant l’univers DC et celui de Star Wars.
La réponse d’Abrams n’a pas tardé avec cette vidéo du Faucon Millenium.
Il fait d’une pierre deux coups avec l’officialisation de la présence du vaisseau de Han Solo mais il place aussi la Batmobile sur la structure pour le clin d’oeil à DC. On peut noter que Bad Robots est assez libre dans sa façon de communiquer vu que DC appartient à la Warner et Star Wars à Disney soit deux concurrents directs.
Roi dans sa communication 2.0 et maître dans l’art du teasing, Bad Robots va régulierement nous alimenter en informations sur les réseaux sociaux jusqu’à la sortie en décembre 2015. En tout cas notre agence de communication suivra avec intérêt JJ Abrams tout au long de cette année.
Et si votre entreprise intégrait Vine dans sa stratégie social média ?
Vine est une application mobile permettant de créer des vidéos de 6 secondes maximum. C’est un service de micro blogging au même titre que twitter ou tumblr. À la différence que celui-ci permet de publier des mini vidéos. On peut ainsi partager ces vidéos sur d’autres réseaux sociaux, notamment Twitter (Vine lui appartenant). Vine est à la vidéo ce qu’Instagram est à la photo. La facilité d’utilisation est le moteur de son succès. En effet, il suffit d’un simple smartphone muni d’une caméra et d’un peu d’imagination pour se lancer.
Le contenu social média devant être en perpétuel évolution, la vidéo s’est affirmée comme l’un des éléments clés de l’espace Internet. En comprenant cet engouement pour les objets audiovisuelles, les entreprises ont investies du temps, des ressources et de l’argent à la création de vidéos. Elles ont vite compris (et il y a longtemps) le pouvoir d’attraction de ce support sur ses potentiels clients.
C’est à ce moment que Vine entre en jeu. Vine a littéralement changé la façon de penser une vidéo pour les marketeurs. La viralité de ces vidéos, le fait qu’il n’y ait plus de contrainte – si ce n’est le manque de créativité – ont fait le succès de Vine. De nombreuses entreprises ont franchi le pas afin de créer et d’engendrer une sorte de sympathie autour de leur marque.
3 principales raisons pour une entreprise d’être présente sur Vine :
Le contenu visuel booste les campagnes marketing
Toutes les statistiques le démontrent : les marques peuvent atteindre facilement un large panel de personnes avec du contenu visuel sur internet. Un récent rapport de Cisco suggère que le format vidéo va par ailleurs compter pour 69 % du trafic internet d’ici 2017.
La logique derrière ces chiffres est claire : les informations sont assimilées plus rapidement avec une vidéo. De plus, les internautes sont plus enclins à partager une vidéo qu’un article. Si bien qu’un nombre croissant de consommateurs affirment qu’une vidéo renforce la confiance qu’ils ont pour une marque. Et cela se répercute nécessairement sur leurs achats.
Avec la révolution des Smartphones, la vidéo est devenue de plus en plus accessible. Cette popularité va croître de façon exponentielle. Le format audiovisuel est un média des plus puissants et familiers qui demande moins de temps et d’attention qu’un article écrit : Seul la vidéo permet d’atteindre rapidement les émotions de chaque consommateur.
Les coûts sont moins importants qu’auparavant
Avant, il fallait que l’entreprise s’attache les services d’une société de production audiovisuelle pour filmer et produire la vidéo. Aujourd’hui, il y a Vine.
Vine a été conçu de façon à ce que chacun puisse éditer des vidéos sans moyens professionnels. De ce fait, l’interface de l’application est épurée à son maximum (peu d’options de montage et pas de filtres, sauf avec des extensions). La durée de 6 secondes limite également les coûts. Vine a été créée pour être rapide, facile et accessible à tous, du professionnel aux enfants.
Tout comme Twitter qui a changé les règles de la communication avec ses caractères limités, Vine re-invente la vidéo en forçant l’utilisateur à être plus créatif et capturer l’attention en très peu de temps. Alors qu’il y a 5 ans, tout ceci était purement impossible.
Les vidéos Vine sont partagées quatre fois plus que les autres vidéos online
C’est l’argument principal : la vidéo que vous publiez sur Vine a vocation à être virale. Pas seulement parce que c’est facile et peu onéreux mais surtout parce que ces vidéos sont 400 % de fois plus partagées que d’autres formats vidéos. Et ce n’est pas tout, 9 tweets incluant une vidéo Vine sont envoyés chaque seconde de chaque jour.
Un groupe Facebook qui diffuse les « Best Vines » cumule 22 millions de fans. L’un des facteurs majeurs de cette popularité est le fait que cela ne prend que quelques secondes pour les visionner.
Le principe du « loop » n’est pas à négliger. La « loop » est la boucle de la vidéo, la lecture de celle-ci ne s’arrête jamais recommençant sempiternellement jusqu’à ce que l’internaute passe à autre chose. De ce fait la vidéo est facilement vu deux ou trois fois d’affilées sans y prendre garde. Un message intelligent et ludique de votre marque aura plus de chance d’être vu et partagé que sur Youtube par exemple.
Beaucoup de marques utilisent déjà Vine à bon escient. Mais dans quels buts les entreprises diffusent-elles des Vines?
1/Pour montrer ses produits
La façon la plus simple d’utiliser Vine est de montrer son produit. Pas très compliqué mais assez efficace en terme de message. Prenons l’exemple de « Red Vines » – une des premières marques à avoir pris au sérieux Vine – une friandise US aromatisé au raisin. On vous invite d’ailleurs à prendre en exemple ce compte Vine tant il est inventif et fun.
Red Vines, Le jeu de mot semble évident :
2/ Pour créer une proximité
En montrant l’envers du décor de sa société, on crée de l’empathie. On familiarise, on engendre une sorte d’intimité avec le client. La chaîne météo américaine « the weather channel » montrant ses locaux avec un coté « behind the scene » :
3/Pour expliquer comment utiliser ses produits
Une sorte de mini tutoriel ludique et souvent humoristique qui montre comment utiliser correctement votre produit. Le hashtag #howto (comment faire) est d’ailleurs des plus couramment utilisés sur Vine. Cela peut être utile si votre produit doit être assemblé ou bien s’il faut l’utiliser selon certaines conditions.
L’une des marques leader dans la catégorie des #howto est l’américain Lowes (l’équivalent du Leroy Merlin US) avec un bon nombre de Vines explicatifs :
4/Pour faire du teasing
Quelquefois certains visuels peuvent réellement créer une excitation sur les consomateurs à propos d’un nouveau produit. Le teasing est assez commun sur Vine. Nintendo qui utilise Vine pour donner à ses fans un avant gout de leurs prochains jeux-video en déballant le packaging :
5/ Pour célébrer un événement
Faire une vidéo Vine pour des événements tels que la St valentin ou Halloween renforce le sentiment d’appartenance à la marque. Bien plus que cela, ce genre de petites attentions augmente son capital sympathie auprès des consommateurs et indirectement les ventes.
General Electrics – très présent sur Vine – et sa célébration d’Halloween :
6/Pour partager son histoire
Chaque entreprise a son histoire. La raconter permet de faire comprendre que vous connaissez vos clients, vos produits et vos services. L’histoire d’une entreprise renforce la confiance qu’un consommateur aura pour la marque. Gap qui utilise Vine pour montrer l’évolution de tous ses jeans depuis 1969 : .
7/Pour amener du monde dans vos commerces
Si vous avez un magasin ou un commerce, Vine peut éventuellement permettre d’augmenter le trafic physique dans celui-ci. Le but ici est de montrer à vos fans combien c’est agréable d’être votre magasin , restaurant etc…
Urban Outfitters a posté des vidéos de groupes live jouant dans ses magasins :
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8/Pour créer un concours
Vos followers peuvent ainsi créer leur propres vidéos selon une thème précis. Cela permet de renforcer le sentiment d’appartenance à votre marque en plus d’améliorer votre image. Cela mettra aussi à contribution les internautes pour ajouter du contenu sous votre nom.
Michelin a crée un concours ayant pour thème la prévention routière avec le hashtag #michelinyoungdrivers. Michelin fait d’une pierre deux coups avec ce coté préventif améliorant son aura :
9/ Pour tout simplement amuser son audience
Le but premier de Vine est le divertissement. Si vous voulez que votre vidéo deviennent virale, il faut être sûre que celle ci soit amusante.
MailChimp prestataire incontournable pour le mailing marketing, d’une part parce que la mascotte est un singe mais aussi car la vidéo est hilarante d’absurdité :
Ou bien le jeune compte Vine de Mad Monkeys Consulting, car on s’amuse beaucoup ici aussi :
Et pour conclure !
Vine peut être un formidable outil pour les entreprises afin d’améliorer leur image auprès des consommateurs. Mais pour cela il faut être assez créatif pour amuser tout en faisant passer un message commercial.
Et surtout cela dépendra bien évidemment des objectifs de la marque, de l’entreprise et de sa cible. Bien que Vine totalise 40 millions d’inscrits, on distingue entre 10 et 15 millions de comptes actifs. Et puis essentiellement utilisé en Amérique du Nord. En France, Vine serait le 17ème réseau social le plus utilisé (donc loin, très loin, très très loin, derrière les traditionnels). Toutefois, il y a peut être une carte à jouer si on parvient à cibler les utilisateurs présents…
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