Mad Monkeys brasse la communication de la bière Paolina

shooting photo

Mad Monkeys a l’honneur d’accompagner la création et le lancement de la bière Paolina.

Ces dernières années, le marché de la bière artisanale est en plein expansion. Si la consommation de vin – et par extension d’alcool – diminue en France, la consommation de bière augmente à l’image de son produit : de façon insolente et décomplexée.   En Corse, de nombreuses micro-brasseries voient aujourd’hui le jour et se développent chacune à leur rythme.  La bière Paolina débarque donc sur un secteur de plus en plus concurrentiel où il sera question de se faire une place de choix.

PAOLINA : 1 positionnement affirmé pour 3 recettes d'exception

Aujourd’hui, le consommateur de bière est attiré par les marques atypiques de bières artisanales. Il est donc important d’avoir les caractéristiques positives d’une marque forte et ancrée sur un territoire.

Dès son lancement, Paolina a pour ambition de conquérir le secteur GMS et le secteur CHR avec 3 recettes originales :

  • Paolina Originale Lager, une bière blonde à la robe dorée
  • Paolina L’immortelle, une bière blanche à l’immortelle de Corse à la finale épicée
  • Paolina Speciality Ale, une bière blonde à l’AOP Miel de Corse subtilement sucrée

Dans la grande moyenne et petite distribution, le conditionnement proposé est un tripack 3x33cl, voire à l’unité selon le distributeur.

Tandis que dans les bars et restaurant, Paolina est disponible en bouteille 33cl et en pression.

Branding : Création de l'image de PAOLINA

Dans notre réflexion, PAOLINA représente l’alliance de la force et de la légèreté, à l’image de son nom… mais aussi à la suite de sa dégustation.

Il était important de placer la marque et le produit de façon à provoquer chez le consommateur la dimension suivante : « L’autre bière » (et non (« encore une autre bière« ).

création étiquettes

La difficulté fut d’amener de la simplicité dans un univers complexe afin que le produit parle au plus grand nombre (du moins aux consommateurs de bières en recherche d’authenticité). En effet, la bière est un produit en lui-même simple. Ici, il s’agissait de mettre en avant les particularités des ingrédients hautement identitaires (L’immortelle et le miel de Corse) et d’évoquer le rassemblement (tout en respectant la Loi Evin…).

Création d'étiquettes et  packaging 

Tripack 3x33cl Paolina Blonde
Création packagin
Tripack 3x33cl Paolina L'immortelle
Tripack 3x33cl Paolina Miel de Corse

Les étiquettes Paolina en Réalité Augmentée

Nous avons « augmenté » les étiquettes Paolina afin de favoriser la connexion avec les consommateurs. 

Nous vous invitons à scanner l’étiquette ci-contre à l’aide de l’application SnapPress. 

Un dispositif innovant (et unique en Corse).   

étiquette réalité augmentée

Le dispositif social média et créations de contenus

Mad Monkeys gère l’intégralité de la communication digitale de cette  nouvelle marque : de sa conceptualisation à son déploiement.

Classiquement, nous avons privilégié le positionnement sur les deux réseaux phares  Facebook et Instagram. Nous assurons l’ensemble de l’activité community management ainsi que la gestion des campagnes publicitaires. 

Newsjacking
A l'occasion de la sortie de la S3 de Stranger Things
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Les photos sont réalisées par nos soins dans notre studio photo ou en extérieur, tout comme l’ensemble des contenus marketing et wekmarketing.

Pour promouvoir l’arrivée sur le marché de cette nouvelle marque de bière, une vidéo de lancement à été créée pour une diffusion sur les réseaux sociaux. 

Reprenant le storytelling de départ, le caractère de PAOLINA devait être au coeur de la vidéo. Celle-ci invite les socionautes à entrer dans l’univers de PAOLINA, un monde accessible et quasi-parallèle. 

Création graphique pour supports traditionnels et PLV

Création supports commerciaux

Afin d’accompagner l’équipe commerciale et fournir les outils nécessaires aux agents commerciaux pour le placement du produit, les fiches produits ont été créées sous différents formats (print et web). 

Dédié également aux commerciaux mais également aux clients professionnels de la marque, un brand book d’une 40e de pages a été réalisé afin que les différents acteurs s’approprient la marque et puissent communiquer à son propos. 

Accompagnement stratégique et opérationnel

Tout au long de notre mission, nous assurons un accompagnement basé sur le conseil, la prise de décision stratégique et la veille concurrentielle et informationnelle. 

Cet accompagnement est primordial dans la réalisation et l’accomplissement de notre mission. Il est au cœur de la proximité et de la relation de confiance que nous construisons chaque jour avec nos clients.

La rencontre entre Madalena et Mad Monkeys

Madalena, la madeleine corse à la farine de châtaigne.

 

Mad Monkeys est fier de vous présenter Madalena, la madeleine artisanale corse à la farine de châtaigne. Nous en sommes d’autant plus fiers que l’agence a participé à la naissance de ce produit, premier de la (future) marque régionale Da Sparte®. Cette dernière valorise des produits de grande qualité, rigoureusement sélectionnés auprès de producteurs soucieux de garantir un savoir-faire et des produits de qualité supérieure aux consommateurs.

 

Pour commencer… Le branding

L’idée première était de  proposer un classique de la pâtisserie française aux saveurs typiquement insulaires de la farine de châtaigne, en l’associant à la femme Corse. En effet, « Madeleine » , qui désigne en français à la fois le gâteau et un prénom féminin, s’écrit en Corse « Madalena ». Nous avons donc imaginé le visage d’une femme Corse ancrée dans son temps, mais dont l’aspect la révèle respectueuse des valeurs insulaires.

 

madeleine corse

Le Storytelling : de la réalité à la fiction

madeleine corse
Dessin réalisé au feutre – reproduction ou utilisation interdite – tous droits réservés

 

Au commencement, il y a le souvenir d’une grand-mère, Madalena… Elle était Corse dans toute l’acceptation du terme. De ce souvenir, nous en avons fait un hommage. Un hommage, qui se veut universel, à toutes nos grands-mères qui nous régalaient derrière leurs fourneaux. Madalena n’est finalement pas que Madalena… Elle représente la femme Corse.

 

L’histoire de notre Madalena débute avec notre grand-mère, cuisinière hors pair. Celle-ci était renommée pour la qualité de ses pâtisseries et autres biscuits, en utilisant tout ce que la Castagniccia avait à offrir en termes de saveurs. 

Mais Madalena était secrète, très secrète… Si bien qu’elle ne dévoila à personne ses recettes qui ont fait sa renommée dont la madeleine à la farine de châtaigne. Son savoir-faire fut oublié et le temps a fait son chemin… 

Jusqu’au jour où une autre Madalena, trouva son livre de recettes et décida de donner une seconde jeunesse à ces recettes d’antan. 

 

 

Un packaging original et innovant

Packaging gâteaux

La consigne était très claire : sortir des traditionnels sachets de biscuits corses qui inondent les rayons des grandes surfaces. Le packaging se veut moderne, élégant et épuré, tout en laissant transparaitre le côté artisanal du gâteau. Ainsi, en mettant en avant les madeleines originales (photos réalisées par Mad Monkeys) sur le packaging, nous souhaitions valoriser sa production artisane tout en présentant le produit. En effet, ne voyant pas le produit à travers une fenêtre pour des raisons de conditionnement, il était important de montrer aux futurs consommateurs le produit.

pacakging moderne

 

 

 

Si le design a été intégralement conçu par l’agence Mad Monkeys, c’est l’entreprise Corsica Emballages qui fut en charge de l’impression.

 

 

 

Le dispositif média

 

Le lancement de Madalena s’est effectué sur deux axes majeurs : d’un côté nous avons employé les supports médiatiques traditionnels, et de l’autre côté nous avons mis en place une stratégie de communication digitale au travers des réseaux sociaux.

Madalena a été officiellement lancée à l’occasion de la XXXIe Foire de Bocognano. Un stand a été imaginé à partir de  trois roll-ups géants en aluminium, créés à l’effigie du produit et de l’histoire de Madalena. Un roll-up numérique, doté d’un écran 12 pouces a également été conçu.

 

Madalena la madeleine corse

 

Madalena

 

Madalena à la farine de châtaigne.

 

 

 

Pour promouvoir ce lancement, et durant les deux semaines précédent l’événement, des boites de Madalena étaient offertes dans l’émission matinale France Bleu RCFM animée par Isabelle Don Ignazi. Des blogueuses food insulaires ont été conviées à une dégustation exclusive. C’est le cas de Gwendoline, blogueuse ajaccienne gourmande à l’origine de  La Gazette De Gwen, qui a par ailleurs relayé son expérience gustative avec Madalena à travers un délicieux article

 

 

 

Pour assurer la visibilité du produit en magasin avant sa sortie, des affiches PLV (reprenant la vidéo de lancement – voir ci-après) et un livret de marque à destination des chefs de rayon ont été créés.

affiche plv
Affiche Madalena disposée dans les futurs points de vente

Pour promouvoir la sortie de ce produit unique, une vidéo de lancement à été créée pour une diffusion sur les réseaux sociaux. Reprenant le storytelling, elle a été créée de toutes pièces au sein de Mad Monkeys à partir de dessins réalisés au feutre noir. Puis, chaque élément fut animé en 2,5 D. Afin de préciser le caractère identitaire de Madalena, une voix off masculine, s’exprimant en  langue Corse, a été ajoutée à la vidéo.

 

La vidéo cumule à ce jour plus de 40 000 vues. Et à la base, ce n’étaient pourtant que des dessins…

Communication de Mad Monkeys
Les dessins de Mad Monkeys.

 

À l’issus d’un benchmark, ce sont par ailleurs les réseaux sociaux Facebook et Instagram , dont nous assurons le community management, qui ont été choisis pour asseoir le positionnement de Madalena. Mad Monkeys gère l’intégralité de la communication digitale de ce nouveau produit régional: de sa conceptualisation à son déploiement. Les séances photos sont réalisées par nos soins dans notre studio photo, tout comme l’ensemble des contenus marketing et wekmarketing.

Mise en avant du produit.
Mise en avant de Madalena sur Facebook
Mis en avant du produit
Recette artisanale Madalena
Mise en avant
Packaging Madalena

 

Dans les semaines qui suivront, un travail de relation presse sera entamé, et d’autres supports de diffusion de la vidéo de présentation de Madalena sont en cours de réflexion. Mais aussi, un beau travail nous attend sur la conception de la marque Da Sparte®… On vous tiendra au courant pour la suite de cette histoire…

Loi Evin et réseaux sociaux

Ricard et Evin

Communiquer sur les réseaux sociaux lorsque l’on est une marque de boisson alcoolisée, c’est compliqué. Sans pour autant contourner la loi Evin, on peut pour autant s’en accommoder sans être hors la loi.

On va déjà s’attacher à décrire la loi en quelques mots. La loi Evin, datant de 1991, réglemente la publicité pour l’alcool et le tabac. La consommation d’alcool et de tabac était devenue le cheval de bataille en terme de politique de santé publique. Concernant l’alcool, la loi stipule que seul l’affichage, la radio (sur certaines tranches horaires) et la presse (hors titres jeunesse) peuvent être utilisés. Le message doit systématiquement rappeler que « L’abus d’alcool est dangereux pour la santé ». Cette loi a été mise à jour en 2009 pour répondre au vide juridique engendré par internet. Logiquement l’essence de la loi reste la même; mais il est aujourd’hui difficile de statuer pour tout ce qui touche aux plateformes média sociales. En d’autres termes, il n’y a pas d’interdiction précise d’une quelconque plateforme sociale.

La loi Evin est d’ailleurs la plus restrictive au monde en terme de législation encadrant les boissons alcoolisées. Ce qui est paradoxale lorsque l’on connait la qualité de notre vin ou champagne. On peut même douter de l’efficacité de celle-ci. En effet, depuis une cinquantaine d’années les français ont commencé à moins consommer de l’alcool, soit bien avant l’instauration de cette loi. Cette décrue s’est accélérée grâce aux campagnes de prévention, et la lutte contre l’alcool au volant ayant aussi joué un rôle prépondérant.

Revenons à ce qui nous intéresse, en l’occurrence la communication des marques de boisson alcoolisée sur les réseaux sociaux.

L’ANPAA censeur en chef

L’ANPAA (l’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et en Addictologie) veille au grain sur les différentes stratégies digitales touchant à l’alcool.

Logo loi Evin
Le logo de l’association

Pour ainsi dire, ils ne veulent pas de viticoles, de brasseurs ou de fabricants de spiritueux sur les réseaux sociaux sous prétexte que ceux-ci sont fréquentés majoritairement par des jeunes mineurs (ce qui est faux puisqu’ils ne sont que 5,7%). L’aspect intrusif des publications est aussi mentionné. En effet, sur un fil d’actualité Facebook par exemple, on peut avoir un ami qui like des visuels Jack Daniels sans qu’on ait notre mot à dire. On peut dire que l’ANPAA jouit d’une méconnaissance totale d’internet et des nouvelles technologies. Son président Alain Rigaud déclare qu’il faudrait contrôler Facebook et les réseaux sociaux en général comme dans certains pays comme Chine. Bien qu’il nuance plus tard ses propos, on a compris le fond de sa pensée. Vive les dictatures qui interdisent Internet. Par la suite il décrit le monde numérique comme un repère de sites racistes, pédophiles, extrémistes, nazis… Oui c’est bien connu, Le Diable a investi le web. Je vous invite à lire son interview publiée sur le blog Rue89 afin de vous faire votre propre idée sur cette institution anachronique.

Loin de nous de faire l’apologie de l’alcool, la consommation excessive d’alcool est dangereuse pour la santé. L’alcoolisme est aussi un vrai fléau et bien entendu il faut intensifier la prévention contre l’alcool au volant. Néanmoins, il faut penser aussi à la survie des petits producteurs qui n’ont pas les moyens marketing d’une grosse entreprise. Pour eux, l’avènement d’internet devrait leur permettre de faire connaître leur produit à moindre coût. C’est pour cela qu’il faut être intelligent dans son message pour ne pas faire d’appel à la consommation.

Les condamnations

Plusieurs entreprises ont été condamnées ces dernières années. Le cas le plus connu est celui du groupe Pernod Ricard. La célèbre marque de spiritueux a été sanctionnée pour sa campagne « Un Ricard, des rencontres » lancée en juin 2011.

Ricard réseaux sociaux
Un visuel de cette campagne

Le but de cette campagne était de partager grâce à une application des recettes de cocktails à base de pastis sur son mur. Or pour la justice, ce partage s’apparentait à de la publicité intempestive. En effet, partager sur son mur à son réseau d’ami est assimilé à de la publicité. Les juges ont souligné son caractère inopiné et systématique. Avec du recul, on peut aussi critiquer le slogan qui incite à la consommation. En effet, on peut comprendre que boire du pastis aide à se sociabiliser.

Heineken a aussi eu maille avec l’ANPAA pour sa campagne célébrant ses 140 ans d’existence.

Heineken bouteille
La campagne Heineken pour son anniversaire

Il fallait que l’internaute crée un design unique pour la bouteille anniversaire. On a reproché à Heineken d’inciter à « liker » la marque sur Facebook en faisant miroiter un concours et des lots à gagner. On peut comprendre l’ANPAA, l’incitation à participer est claire. En likant, l’internaute s’expose à recevoir le contenu promotionnel de la marque. Heineken a par la suite retiré tout ce contenu  et a été condamné à verser des dommages et intérêts à l’association.

Ce qu’il ne faut pas faire en général sous peine d’être complètement hors la loi:

  • Ne pas inciter l’internaute à liker sa page ou à suivre un de ses comptes
  • Eviter de faire des jeux concours. C’est clairement du racolage.
  • Ne pas vanter les vertus de l’alcool par n’importe quel support (vidéo, photo, statut)
  • Ne pas partager des photos mettant en scène des gens buvant de l’alcool (et encore moins ayant l’air de s’amuser)

L’exemple des vins d’appellation « Côtes du Rhône » est assez parlant.

Publicité épinglée
Publicité épinglée

Ce qui lui est reproché est assez évident finalement. On peut comprendre ce visuel ainsi: en buvant du vin on prend gout à la vie, en buvant du vin on peut agréablement planer, s’élever. Ce visuel donne une bonne image de la consommation d’alcool, ce qui est interdit.

Ce qu’il faut faire

Un viticulteur ou un brasseur par exemple doit appuyer son message sur l’histoire de son produit.  Le storytelling est d’une importance capitale. Il faut que la marque joue à fond ce jeu comme l’a si bien fait la bière Amsterdam. La légende du navire « le Hollandais volant » leur permet de raconter une histoire et donc de capter l’attention des internautes.

Les marques jouent aussi beaucoup sur le visuel de leur bouteille. En effet la bouteille fermée n’incite pas clairement à la consommation (parait-il). Personne ne vient la boire ou l’ouvrir. Il faut faire preuve de créativité pour créer des visuels attractifs sans pour autant montrer des consommateurs, ni même vanter les bienfaits de l’alcool. Il faut insister sur le design du conditionnement.

Jura
La bouteille de whisky Jura

 Révéler les secrets de fabrication est aussi un bon moyen de capter une audience. On entre ici dans une transmission de savoir-faire. C’est l’artisan qui présente son produit, son vin ou sa bière. Montrer les étapes de fabrication ou lieu sans pour autant susciter l’envie de boire.

 

Jack
Jack Daniels et son affinage

Ce ne sont pas des conseils pour passer outre la loi Evin. Ce sont juste des moyens de communiquer sur son produit sans pour autant être responsable d’une consommation excessive. Il ne faut surtout pas oublier:

  • Mettre un filtre: Interdit au mineur
  • Ne pas oublier: l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A Consommer avec modération.
  • Bien faire attention au slogan

En conclusion, et quoi qu’il arrive, il faut  se conformer à la loi Evin. Certaines marques ne la respectent pas totalement. Mais ce n’est pas une raison pour les suivre dans cette voie. Le vide juridique entourant les réseaux sociaux est bien réel, mais inutile d’en profiter. Car n’oublions pas que l’alcool consommé avec excès tue. Communiquez sans faire dans le racolage ou l’incitation à la consommation et vous serez totalement dans votre droit.

 

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Social Media décoration

aaron wood

Comment décorer son agence de communication ?

Le bien-être au travail passe aussi par un cadre de travail agréable. Pour être efficace, productif ET créatif, l’émotion doit transparaître à travers l’environnement dans lequel nous évoluons. En tant qu’agence de communication, la décoration de nos locaux est une chose importante. Pour nous, et également pour nos visiteurs et clients. Ils doivent pouvoir ressentir l’esprit de notre entreprise en pénétrant dans nos bureaux. Le visuel et le ressenti sont donc primordiaux; d’autant plus lorsque l’on parle de communication et de marketing.

Nos activités tournent autour des réseaux sociaux et du web en général. Nous sommes partis à la recherche d’artistes 2.0. Bien entendu, ces recherches ont été effectuées sur le net et particulièrement sur Pinterest et Google plus. En effet, ce sont les deux réseaux sociaux ayant le plus de sens actuellement et dont les évolutions semblent quasi infinies :  ils font la part belle aux visuels et à la créativité. Ce constat n’engage que moi, du fait de notre implantation géographique à Bastia en Corse, beaucoup ne jurant que par Facebook… Heureusement, malgré notre insularité nous ne sommes pas cloisonnés.

Voici une sélection d’affiches social media :

Aaron Wood: the social propagandist

Aaron Wood – à ne pas confondre avec Aaron Woods le rugbyman – est un graphiste américain freelance qui commercialise ses œuvres sur le site Etsy. Ces œuvres sont inspirées des affiches de propagande de la seconde guerre mondiale avec l’oncle Sam.

 

Détournement Foursquare, Aaron Wood
Localisation des ennemis grâce à Foursquare…
Facebook détournement, Aaron Wood
Victoire !!
Facebook et les fermes, Aaron Wood
Pour tous ceux qui connaissent ces jeux de fermier…
Victory is Tweet, Aaron Wood
Twitter a aussi droit à son affiche

Encore des affiches Vintages…

Brian Lane Winfield Moore  est dans le même style que Aaron Wood, mais en moins minimaliste. Ça fait aussi son effet…

Wikipedia parodié
Wikipedia est aussi de la partie
poster vintage
Google earth poster
Twitter parodie
Et une dernière pour la route

 

Ces artistes ne sont pas les premiers dans le genre. En 2010, l’agence de communication brésilienne Moma a réalisé un série de fausse affiches publicitaires vantant nos très chers réseaux sociaux : youtube, skype, facebook et twitter.

Affiches retro vintage réseaux sociaux
Un petit tour dans les 50’s avec Facebook, twitter, skype et youtube !

 Voilà pour nos coups de cœur. Vous l’aurez compris, on aime bien le vintage et le détournement chez Mad Monkeys Consulting. On en a même craqué pour deux d’entres elles…

La stratégie de communication de J.J. Abrams autour de Star Wars

Les premières images de Star Wars épisode  VII baptisé « The force awakens » (ou l’éveil de la force, selon mon modeste niveau d’anglais) seront diffusées dans un nombre limité de salles de cinéma aux Etats-Unis ce vendredi (mais aussi sur Itunes) . Autant dire que, comme pour la « Menace fantôme », beaucoup de fans paieront leur place uniquement pour voir cette bande annonce. C’est un beau coup marketing pour Disney car le film qui suivra n’est autre que « Les nouveaux héros », leur nouveau film d’animation. Ils sont forts chez Disney tout de même.

Depuis l’annonce du rachat LucasFilm par Disney et la mise en chantier de nouveaux films Star Wars, c’est l’effervescence dans l’immense communauté des fans. On va avoir droit à une nouvelle trilogie faisant suite à celle originelle ainsi que de plusieurs spin-off . Les rumeurs vont bon train sur ce que pourrait être le scénario de tous ces films, toutes aussi plausibles que farfelues. Luke a-il basculé du coté obscur?  Le premier spin off aura-t-il pour trame principale le vol des plans de l’étoile noire et serait donc un prequel à l’épisode IV? Jar Jar est-il mort dans d’attroces souffrances? Autant de questions qui fusent sur le net. Comment rassurer les fans du monde que l’univers Star Wars ne perdra pas son âme avec Disney aux commandes (même si pour certains la prélogie a déjà violé les fanboys). Surtout après le denis de l’univers étendu (livre, bande dessinée, jeux vidéos). Car il était établi que l’univers étendu, approuvé par Georges Lucas faisait partie d’un seul et même ensemble. Donc pas d’épisode VII avec l’amiral Thrawn… snif  (à priori…). Et pas de Mara Jade non plus…

le cycle de Thrawn
Couverture du roman faisant suite au « Retour du jedi »

Mais fort heureusement, les producteurs ont compris l’impact qu’un nouveau Star Wars pourrait avoir dans le monde. Ils ont mis en place une stratégie de communication digitale de grande envergure en investissant les réseaux sociaux d’une manière aussi subtile qu’efficace. En se servant des avantages du net 2.0, les producteurs et le réalisateur J.J. Abrams impliquent les fans dans cette chasse aux indices. De ce fait ils controlent intelligemment les fuites d’informations. Bien que Disney  et Lucas Film aient pas mal d’expérience dans le domaine, c’est bien la société de notre chère Abrams, Bad Robot qui semble chapeauter le tout avec maestria.

La stratégie transmédia de JJ Abrams

 Le buzz Lost

J.J. Abrams n’en est pas à son coup d’essai. Petit rappel pour les néophytes, J.J. est celui derrière les séries Alias, Fringe et surtout Lost. Lost, son lancement en 2004, avait crée le buzz sur internet. Avec sa société de production Bad Robots, il avait crée tout un tas de sites ou de références comme par exemple le site internet de Oceanic Airline (la compagnie aérienne fictive du crash) ou même une page fan du groupe de rock de Charlie Pace  (http://iheartdriveshaft.blogspot.fr/). Il avait crée un véritable jeu de piste pour l’internaute qui voulait aller plus loin dans l’intrigue, car la série pouvait être plus qu’avare en explication. Malgré que la fin soit comment dire, insuffisante, Lost aura attisé la curiosité des fans du monde entier cherchant des réponses inlassablement, partageant sur les réseaux sociaux ou les forums leurs différentes théories. J.J. et son équipe avait réussi un coup de maître empêchant une annulation prématurée grâce à cette base d’addicts. Pour Fringe il utilisera la même recette (rappelez vous les images subliminales) pour créer des interactions avec les téléspectateurs. Il est donc un spécialiste des stratégies transmédias, c’est à dire qu’il développe son concept sur différents médias (télévision, internet, jeux vidéo etc…) apportant un degré de lecture différent à chaque fois.

D’ailleurs, il a écrit un livre totalement dans cette esprit interactif mais cette fois-ci le média littéraire. Le roman S sorti l’année dernière est une véritable curiosité, un livre dans le livre.  Voici le teaser vidéo au cas où cela intéresserait quelqu’un pour les fêtes de noël.

Bad Robots roi du viral marketing

Sa société de production est aussi une spécialiste dans le teasing. Le teasing est une technique de communication en plusieurs étapes qui vise à éveiller la curiosité et à susciter une attente. On dévoile petit à petit le projet tout en restant mystérieux.

Mais ici, cette notion de teasing est exacerbée par la viralité que peut conferer  internet. En effet, Bad Robots est passé maître dans l’art  de faire le « buzz ». La stratégie est simple mais diablement efficace: mettre en ligne une vidéo énigmatique et la partager sur les réseaux sociaux tout en entretenant un background mystérieux. Cela attise indubitablement la curiosité de l’internaute ce qui le pousse à interagir, et donc à partager ce lien. Tout le monde se souvient de la campagne virale autour de « Cloverfield » ou de « Super 8 » deux productions estampillées J.J. Abrams.

La communication autour de l’épisode VII

Abrams est celui qui a déja ressucité avec succès la franchise Star Trek.  Il lui faut maintenant convaincre les fans de Star Wars qu’il est bien l’homme de la situation et le garant de cette institution. Sa stratégie de communication est pour cela parfaitement huilée. Même s’il doit composer avec Disney et Lucas Film, on sent bien la patte Bad Robots.

Après la fuite d’images du tournage montrant ce qui semble être le Faucon Millenium ,  J.J., plutôt que d’utiliser les habituels organes de presse, répond sur Twitter avec humour. Cela n’a rien d’anodin, il sait qu’en agissant ainsi il instaure un dialogue pour impliquer les fans. Un démenti aurait eu moins d’impact.

« Je voudrais que les gens arrêtent de publier des photos volées de l’épisode VII. Et de faire des allégations ridicules à propos du fait que le Faucon Millenium soit le film. J.J. » Ce message est assez distant sur la forme  mais c’est sans compter sur l’élément du décor sur lequel est posée la note. Les fans invétérés (dont Mad Monkeys) auront remarqué la table de Dejarik sur lequel JJ a posé son papier. Le Dejarik est un jeu de stratégie se jouant sur un damier (une sorte de jeu d’échec avec les créatures de l’univers Star Wars), or Chewbacca et C3PO y jouent dans le … Faucon Millenium.

JJ utilise ce stratagème régulièrement comme lors l’annonce du gagnant du concours Force For Chance organisé par l’UNICEF.

Mais à qui appartient cette main? Est ce celle de Luke? Celle d’un nouveau droid? Celle du grand méchant? Et si le grand méchant était Luke ?

D’ailleurs avec cette campagne caritative Force For Chance visant à récolter des fond pour l’UNICEF, le réalisateur a encore joué sur ce fan service au travers de deux vidéos. Ces vidéos servent avant tout à motiver les fans à faire un don mais pas que…

 

Cette campagne caritative a eu son petit succès. L’appel aux dons pour l’UNICEF est bien sure un élément moteur mais la façon dont il les motive est dans la même veine que ses tweets. Il appelle à la générosité depuis le plateau de tournage en incluant en arrière plan des références à l’univers de Georges Lucas. C’est une façon ludique encore une fois d’impliquer les fans dans le processus de création et d’aussi contrôler les fuites.

Mais J.J Abrams n’est pas le seul à utiliser internet de cette manière dans l’industrie du cinéma. Zack Snyder, par exemple, utilise son compte Twitter pour publier régulièrement des photos de ses tournages. Le réalisateur de « Batman v Superm.an » est aussi un grand fan de Star Wars (il était aussi préssenti comme réalisateur) et il a décidé de s’amuser avec les gars de Bad Robots en mélangeant l’univers DC et celui de Star Wars.

La réponse d’Abrams n’a pas tardé avec cette vidéo du Faucon Millenium.

Il fait d’une pierre deux coups avec l’officialisation de la présence du vaisseau de Han Solo mais il place aussi la Batmobile sur la structure pour le clin d’oeil à DC. On peut noter que Bad Robots est assez libre dans sa façon de communiquer vu que DC appartient à la Warner et Star Wars à Disney soit deux concurrents directs.

 

Roi dans sa communication 2.0 et maître dans l’art du teasing, Bad Robots va régulierement nous alimenter en informations sur les réseaux sociaux jusqu’à la sortie en décembre 2015. En tout cas notre agence de communication suivra avec intérêt JJ Abrams tout au long de cette année.

May the Force be with Mad Monkeys Consulting

Twitter et les footballeurs

Joey l'anglais

Cela ne vous a sans doute pas échappé, mais beaucoup de Footballeurs utilisent les réseaux sociaux; notamment Twitter qui semble être leur second terrain de « jeu » avant et après un match…

Comme chacun sait, le football jouit d’une exposition médiatique de tous les instants. Le footballeur de haut-niveau est devenu un personnage public au même titre que les artistes ou les hommes politiques. Ils partagent avec les politiques le maniement de  la langue de bois. Combien de propos recueillis par Laurent Paganelli sur le bord du terrain sont d’une platitude extrême comme le sempiternel « le coach nous a dit de rester en place » ou  « c’est surtout l’équipe qu’il faut  féliciter ». Bien peu de joueurs arrivent à balbutier des propos pertinents en interview d’après match ou même en conférence de presse. Ces robinets d’eau tiède en short sont formatés pour ne balancer que des banalités politiquement correctes pour ne froisser personne et ne pas s’attirer les foudres des médias. Ils sont dans une logique de salarié et ne veulent surtout pas nuire à leur employeur par crainte de leur avenir au sein de leur club respectif.

Il faut dire que dés le centre de formation, les apprentis footballeurs suivent des cours de « media training ». Il apprennent à répondre aux médias d’une façon uniforme. Les attachés de presse sont aussi là pour les freiner dans leur communication, les empêchant ainsi d’être natures. En effet, le club a souvent au moins un attaché de presse auquel s’ajoute – selon sa notoriété – un autre conseiller personnel. Si bien que pour avoir une parole sincère, c’est la croix et la bannière. Le sport de haut-niveau du fait des enjeux financiers est devenu aseptisé.

Il n’existe plus de McEnroe, ni de Georges Best ou Cantona, des sportifs au verbe haut et à la parole libre. Souvenez-vous de l’histoire de la mouette…

Bien sur, il y a des cas particulier comme Zlatan Ibrahimovic ou Samuel Etoo (dans un concours du plus gros melon des plus rafraîchissants)  incapable de donner dans la langue de bois. Et encore…

Mais depuis l’avènement de Facebook et le boom Twitter, la donne a quelque peu changé. Les footballeurs ont pour la plupart investi les réseaux sociaux. Bien souvent, la communication des joueurs passe par leurs comptes Twitter. Il y a ici deux écoles, les joueurs qui font gérer leur image par des professionnels de la communication et d’autres qui s’en chargent eux même.

La com gérée par des professionnels

Les grands joueurs – du moins les plus connus – ont derrière eux de vraies entreprises pour gérer leur image. Leo Messi a crée – avec son père et son frère – « Leo Messi Management » afin de s’occuper de sa communication et de ses contrats publicitaires. Les enjeux financiers sont tels, qu’une seule erreur de communication peut faire perdre des sponsors et d’autres sources de revenus. C’est entre autre pour cela que tout est contrôlé.

Autre exemple, avec l’opération marketing de Nike pour ses nouvelles chaussures « Mercurial ». Ils ont fait interagir les comptes Twitter de deux joueurs emblématiques de leur écurie, Eden Hazard et Zlatan Ibrahimovic. On a ici un usage des réseaux sociaux à des fins mercantiles, le but étant de faire de la pub aux nouveaux crampons.

Twitter hazard

Twitter Zlatan

 

Les réseaux sociaux sont censés créer un dialogue et  une proximité entre la star et ses fans. Or, quand on sait que se ne sont même pas les joueurs qui twittent eux-mêmes, une sorte de désamour peut se créer. Pourquoi suivre Messi sur Twitter quand on sait que ses Twittes sont savamment étudiés par une équipe de communicants. Qui plus est quand un de ses sponsors est derrière ces 140 caractères aseptisés.

On attend d’ailleurs avec impatience le prochain tweet sur le compte de Zlatan pour nous présenter ses nouveaux crampons… (celui-ci étant actuellement en train de changer de sponsor)

 

 Et  puis, il y a les authentiques…

Nous parlons ici de ces joueurs connus des amateurs de football sans pour autant être des stars Interplanétaires. Ceux qui ont encore le droit de s’exprimer librement et twitter ce qui leur passe par la tête. Des hommes libres, qui de par cette liberté d’expression gagne en sympathie. Le cas de Joey Barton est celui qui decrit le mieux ce que les réseaux sociaux sans filtre peuvent faire pour la cote d’amour d’un joueur.

Joey Barton est sale mioche des quartiers pauvres de Liverpool comme Wayne Rooney ou Steven Gerrard. Formé à Manchester City avant l’arrivé des petrodollars, il en devient rapidement un maillon essentiel. Les fans des Skyblues vantent son abnégation et son agressivité. Mais le bon petit Joey est aussi agressif sur le terrain qu’en dehors. Plusieurs polémiques sont à son actif comme le tabassage de son coéquipier Dabo ou bien l’écrasement d’un cigare dans l’oeil d’un autre. Il fait un petit séjour en prison pour avoir agressé deux personnes dans la rue. Joey n’est – en somme – pas un enfant de cœur, que ce soit sur et en dehors du terrain. Malgré cela, il est suivi par 2,7 millions personnes sur twitter soit 1,5 millions de plus que Benzema. Bien évidemment, ce n’est pas les 31 millions de CR7 car ce chiffre est à mettre en perspective par rapport au fait que Barton n’est pas un grand joueur ni même un international anglais régulier (1 seule cape il y a 8 ans). C’est un joueur moyen n’ayant jamais joué dans une top team. Par contre il est très populaire sur les réseaux sociaux car Joey a un avis sur tout (politique, philosophie, culture…) et aime les clash par twitter interposé. Petit florilège en VO.

Joey vs le monde entier
Joey vs Israel
Joey vs Neymar

Joey vs Pierre Ménes

  Joey tweette beaucoup, peu être trop mais il prend le temps de répondre à ses fans et même ceux qui l’insultent. Un type beaucoup plus fun à suivre que les hommes sandwichs que sont Messi ou Cristiano Ronaldo. Joey n’est heureusement pas le seul à tweeter avec ses propres petits doigts. Balotelli plus talentueux et tout aussi fou que Barton sévit aussi sur twitter. Lui aussi est à la recherche du conflit (du buzz?).

Twitter de Super Mario Balotelli

Par ailleurs, à la suite de ce tweet, il a subi plusieurs insultes, malheureusement racistes…

Un autre joueur anglais d’envergure intéressant à suivre sur Twitter. Moins dans le conflit que Barton mais tout aussi mordant et pertinent, il s’agit de Rio Ferdinand. Il a été un grand joueur, surement le meilleur défenseur central anglais de ces 15 dernières années mais il n’a jamais été  aussi populaire qu’un Ronney, à cause sans doute de son poste sur le terrain. Néanmoins, et grâce à Twitter, on voit qu’il a la tête bien pleine et n’a besoin de personne pour s’occuper de ses réseaux sociaux.

… et les proches des joueurs

Les proches des footballeurs ne sont pas soumis au même diktat en terme de communication. Ils ne sont pas format »s et sont bien maîtres de leur parole. Et bien souvent cela dérape. Pour la dernière coupe du monde, nous avons eu en France quelques exemples de proches qui ont exprimé leur frustration envers le sélectionneur Didier Deschamps. En effet, la compagne de Nasri et la soeur de Gignac l’ont insulté publiquement à travers leurs tweets sous prétexte  qu’il n’avait daigné les sélectionner parmi les 23. Nadine Gignac a tout simplement traité Descahamps de « beau fils de p** » avant d’effacer son tweet. Surement après avoir un coup des fils des conseillers en communication de son frère. La communication de Samir Nasri lors de sa non-sélection est restée sobre, dictée là encore par des professionnels. Lui, habitué aux coups de fer et de sang et autres caprices, sa réaction est pour le moins soft. Inutile d’irriter plus le sélectionneur : 


Tout le contraire de sa compagne Anara Atanes qui n’y est pas allée avec le dos du pouce. On vous épargne la traduction…

Compte Twitter d'Anara

 

D’un coté, on z la communication sobre de Nasri et de l’autre celle sans filtre de sa compagne. Autant dire qu’il faudrait envisager de former leurs proches quand à l’utilisation des réseaux sociaux. Anara égratigne encore de temps en temps le sélectionneur sous le regard bienveillant de Nasri.

En définitive, les réseaux sociaux font désormais partis de l’attirail du footballeur. Il faut savoir les maitriser ou faire appel à des personnes qui le feront pour eux. Les réseaux sociaux doivent normalement créer une proximité avec ses fans et sont des zones d’échanges avec la star auparavant inaccessible. Or, pour les très grands joueurs ou du moins ceux qui drainent le plus d’argent, c’est un nouvel outil marketing d’une efficacité redoutable. D’autant plus que de nouveaux réseaux sociaux dédiés au sport ont fait leur apparition : sportlobster et goaleo.com.