Achat de fan Facebook : la fausse bonne idée

Like acheté

La page Facebook de votre entreprise ou de votre marque n’est pas la plus populaire. Vous êtes malheureux par le peu d’intérêt que votre communauté vous porte. Vous voyez des concurrents directs avec des milliers de fans alors que vous n’en avez que quelques centaines. Vous imaginez ce même concurrent engrangeant des billets à la pelle grâce à cette audience. Vous implorez le bon dieu pour savoir pourquoi lui et pas vous. Pourquoi lui, grand amateur de fautes d’orthographe et de publications aussi peu intéressantes que la vie sexuelle des musaraignes, et pas vous? Alors que vous faîtes tout pour partager des informations utiles à votre cercle de fans, le tout sans que maître Capello ne se retourne dans sa tombe.

Déprimant, me direz-vous. Mais l’est-ce vraiment?

Rassurez-vous votre confrère jouit peut être d’une popularité artificielle; c’est à dire qu’il aurait acheté des fans.

Acheter des fans: une bonne idée?

Il est facile pour n’importe quelle personne d’acheter des fans ou des followers. Les boites de vente de fans ont fleuri sur le web comme socialboost ou uptrafic depuis quelques années. En effet, vous pouvez acheter 50000 fans Facebook pour la modique somme de 339 euros ou 10000 followers Instagram pour 99 euros.  Une fois la transaction effectuée, vous verrez votre compte gonfler en à peine 48 heures.  Et hop à vous la popularité tant attendue et les ventes record.

Simple et efficace non?

Sauf que ce n’est pas aussi facile. Loin de là, car sans le savoir vous avez causé plus de tord à l’image de votre entreprise qu’autre chose.

Ah bon ?

Prenons pour exemple Facebook, le réseau social le plus influent de la planète avec une base utilisateurs en constante augmentation. Mais sachez le, les autres réseaux sociaux ne sont pas en reste. Souvenez-vous de cette purge de faux comptes Instagram en décembre 2014 faisant perdre des millions de followers à certaines « stars ».

En tant qu’agence de communication digitale, nous sommes clair sur ce fait: il ne faut pas acheter de fans, de followers, d’abonnés etc.

Chez Mad Monkeys Consulting nous bâtissons des communautés dans les « règles de l’art ».

Pourquoi? Parce que ce n’est pas le nombre de fans qui compte mais la qualité des échanges entre cette communauté et vous. Ce n’est plus le concours de celui qui a la plus grosse!

C’est le degré d’engagement qui compte et non pas le nombre de fans

Logiquement, les fans de votre page ont une certaine appétence pour ce que vous proposez. C’est pour cela qu’ils vous suivent, qu’ils relaient des informations ou qu’ils commentent vos posts. Ces fans vous auront trouvé par goût ou par hasard mais personne ne les aura forcé à aimer votre page. C’est par choix purement subjectif qu’ils l’auront fait. Jusqu’ici tout est clair comme de l’eau de roche.

Mais lorsque vous achetez des fans, que ce passe-t-il?

D’où viennent ils?

La première question que l’on se pose c’est : d’où viennent ces fans?  La majorité de ces faux-fans sont issus de pays comme l’Inde ou le Pakistan. Des pays qui ne sont pas votre cible et surtout des contrées  où on ne parle pas votre langue. En fait, ces fans proviennent d’usines à clic. Les pakistanais par exemple sont payés au nombre de likes qu’ils donnent (1 dollar pour 1000 likes). Aucun intérêt pour votre commerce qu’un Pakistanais aime la page de votre commerce de proximité… Il n’y a pas que les pakistanais, les faux comptes ou les bots font aussi partie de la panoplie. Là aussi aucun intérêt pour votre restaurant en Corse par exemple.

Likes achetés
Des Likes made in India pour une page française

Vous diminuez vos chances d’interaction

Votre message sera submergé dans ce flot de profils qui ne vous servent à rien. Car il faut savoir que Facebook  a changé son algorithme depuis plusieurs mois. En clair, lorsque que vous postez quelque chose, une partie de toute votre communauté verra votre post. C’est sur la popularité de ce post que se base maintenant Facebook. Plus il y a de personnes qui interagissent avec ce post plus votre communauté sera touchée par ce message. Or ici en noyant vos vrais fans avec de faux comptes, votre base non fictive (vos VRAIS FANS) ne verra plus vos posts. Vous aurez plus de fans que votre concurrent mais aucune interaction.

Votre réputation n’en sortira pas indemne

Vous pensiez qu’acheter des fans Facebook  élargirait votre audience. Mauvaise pioche, cela peut même ternir votre image. A cause de cette masse de profils inutiles et facilement identifiables, vous vous exposez au « bad buzz ». Ce qui sonnera le glas de tous vos efforts en communication digitale. Les potentiels clients qui auront flairés le pot aux roses vous feront une mauvaise pub à coup sûre. De plus ce genre de pratiques est très mal vue par la communauté des Community Managers.

Pas de retour sur investissement

Acheter des likes est donc vraiment de l’argent jeté car on a bien compris que ce n’était pas le nombre qui comptait mais l’engagement. En plus d’avoir perdu de l’argent, vous aurez peut être terni votre réputation et annihilé la base de vrais fans que vous aviez. Car ces 10000 fans ne servent à rien si ils ne lisent pas vos publications. En noyant le poisson, vous êtes sûre de ne plus avoir aucun impact. Car le plus important est bien de susciter de l’interaction avec les personnes qui aiment/suivent votre marque ou votre entreprise.

Cet argent gaspillé aurait pu être utilisé pour s’attacher les services d’un vrai community manager. Une personne dont  le métier consiste à améliorer votre visibilité sur les réseaux sociaux.

En clair au lieu d’acheter des Likes, vous auriez du faire appel à notre agence de communication. Notre pôle community management se serait fait une joie de vous aider à obtenir un vrai engagement de la part de vos fans.

 

 

 

 

Sportlobster le réseau social dédié au sport

Etant féru de sport et surtout de football (comme tous les beaufs me direz vous), je passe mes journées à lire la moindre brève sportive. Je suis, par hasard, tombé sur une dépêche, somme toute anodine, parlant de la blessure du défenseur de Newcastle Steven Taylor . Il s’est malheureusement rompu le tendon d’Achille contre les promus de Burnley pendant le Boxing Day. Un boucher de moins sur le pré me dis-je en survolant l’article. Mais un petit quelque chose attira mon œil, Steven Taylor a annoncé qu’il serait « out » pour le reste de la saison sur son compte officiel Sportlobster .

Sportlobster? Non, il ne l’a pas annoncé sur son compte Twitter, ni sur Facebook, et encore moins sur Instagram avec une photo de son plâtre. Non, il l’a annoncé sur son compte officiel Sportlobster.

Bien entendu je ne découvrais pas Sportlobster le 2 Janvier de l’an de grâce 2015. De par ma fonction chez Mad Monkeys, ma veille m’a amené à me pencher sur ce nouveau réseau social mais sans plus, car trop jeune et exclusivement anglo-saxon. Néanmoins je savais qu’il existait et que des sportifs connus avaient même investi dans cette entreprise. Peut-être avez vous vu l’info concernant Cristiano Ronaldo investissant dans une start-up londonienne en Avril dernier? Autant dire que grâce à la popularité du portugais, ce réseau social commence vraiment à faire parler de lui. Sportlobster est enfin lancé.

Lobster CR7
Cristiano Ronaldo tête de gondole

Sportlobster? C’est quoi?

Sportlobster est un réseau social exclusivement axé sur le sport. Je dirais même sur les sports et non pas simplement le football. Il est possible de suivre plus d’une trentaine de disciplines allant du polo aux fléchettes en passant par les sports plus populaires comme le basket, la F1 ou le rugby. Des sports typiquement anglo-saxons, mais peut-être un jour y verra t-on la pétanque? Qui sait?

Ce réseau social a été lancé en 2013 et depuis l’avènement de CR7, il connait une incroyable croissance. C’est simple en juin dernier, ils ont dépassé le million de membres, ce qui est un exploit en à peine un an. Les créateurs Andy Meikle et Arron Shepherd ne s’attendaient pas à une progression si rapide, mais il vrai qu’avec une locomotive comme le joueur du Real Madrid cela facilite les choses. Même si ils n’ont pas le même impact médiatique que CR7 d’autres sportifs ou retraités ont investi, comme Michael Owen (plus jeune ballon d’or de l’histoire s’il vous plait) et le sympathique pilote australien Mark Webber. Tout ceci crée une certaine légitimité autour de la start-up.

Sur Sportlobster, traduction sport homard, on y parle de sport avec des fans de sport. On peut aussi suivre l’actualité d’un club, d’une ligue, d’une discipline ou d’un sportif. Plusieurs sportifs ont d’ailleurs un compte officiel. On a même l’impression qu’ils parlent plus librement (enfin je crois…) que sur les autres réseaux sociaux.

Comment Sportlobster fonctionne ?

C’est simple vous pouvez vous inscrire directement ou via votre compte Facebook ou Twitter. Une fois inscrit, à vous de jouer. La page d’accueil ressemble un peu au fil d’actualité Facebook avec sur le coté les « verified lobs » qui sont les statuts les plus importants du moment. Car sur Sportlobster on lob, comme sur Twitter on tweete, ou Facebook on like. L’interface est intuitif pour tous les utilisateurs de Facebook ou Twitter. On peut (ou doit) se lier à l’instar de Google Plus à des communautés, ici appelé Fanzone. Les Fanzones sont des fanclubs d’équipes, de ligues, de disciplines etc… Pour ma part, je me suis connecté à la Fanzone du Sporting Club Bastia et du FC Liverpool dans un premier temps, puis à la Ligue 1 et à la F1 etc.. Vous aurez donc dans votre fil d’actualité des lobs en rapport avec vos goûts sportifs.

Pour communiquer avec ces Fanzones, il y a le lob simple limité à 500 caractères, l’insertion de médias tels que les photos et les vidéos. Mais vous pouvez aussi poster un article de type blog avec un minimum de 250 caractères. Donc avec Sportlobster vous avez le choix, soit vous exprimez le fond de votre pensée de façon laconique comme un tweet (le lob) ou vous allez plus profondément dans l’analyse avec le post de blog. Bien sûre tous les posts sont agrémentés de boutons like, commentaire et partage.

Home page Sportlobster
La page d’accueil de Sportlobster

Mais Sportlobster ne se limite pas qu’à cela. Vous pouvez aussi faire des pronostics sur les matchs à venir dans diverses disciplines avec l’onglet Predict. Il a même  un classement avec les autres utilisateurs.

Sportlobster prediction
Les pronostics de sportlobster

Enfin l’onglet Discover permet d’avoir un tour d’horizon de l’actualité sportive en général en dehors de vos Fanzones.

Sportlobster actualité
L’actualité sportive condensée

Que Sportlobster soit vite en français !!!

Malheureusement à l’heure où j’écris ses lignes, il vous faut maîtriser la langue de Steven Gerrard pour pouvoir en profiter. Le réseau étant encore jeune mais très prometteur, il n’y a aucune raison pour qu’il ne débarque pas officiellement en France. En tout cas, il est déjà incontournable pour les fans de Premier League et les sports typiquement anglo-saxons comme le Cricket. Par ailleurs, il se peut qu’à l’avenir j’écrive quelques billets sur le Sporting Club Bastia ou la Ligue 1.

Call me the football Specialist from Bastia

 

Bonne Année 2015

agence de communication

Bonne année et bonne santé !!!

L’équipe de l’agence de communication Mad Monkeys vous souhaite une bonne année 2015 !! Que celle-ci soit belle, heureuse et folle !

Nous vous remercions de faire confiance à notre agence de communication.

C’est avec plaisir que nous avons réalisé cette petite vidéo pour vous présenter nos voeux pour la nouvelle année ! Vous pouvez retrouver d’autres vidéos sur notre chaîne Youtube !

Merci beaucoup !!

Idées cadeaux de Noël : notre liste de la dernière minute

Et oui, Noël est là. Et le moins que l’on puisse dire c’est que nous ne l’avons pas vu venir. Pour notre part, on vient de percuter que nous n’avons encore fait AUCUN cadeau de Noël. Alors que l’étude du cabinet d’audit Deloitte démontre que les internautes français vont moins dépenser cette année pour leurs cadeaux de Noël par rapport à 2013 (synthèse de l’étude ici), 2014 semble être plus que jamais l’année du e-commerce pour le plus grand plaisir de nos proches.

Voici ainsi notre liste de cadeaux de Noël

La box bijoux Emma & Chloé

Box Bijoux Emma & Chloé : tous les mois un bijou de créateur !
Box Bijoux Emma & Chloé : tous les mois un bijou de créateur !

Toi l’homme bon qui veut faire plaisir à ta copine/femme/maîtresse mais qui ne sait jamais quoi lui prendre sous prétexte que tu as peur que cela ne lui plaise pas, offre lui la box Emma et Chloé. Tous les mois, elle recevra un bijou unique de créateur.

La serpillère télécommandée

Avec la serpillère télécommandée, le ménage devient un jeu d'enfant
Avec la serpillère télécommandée, le ménage devient un jeu d’enfant

Toi la femme qui en a marre de faire l’intégralité des tâches ménagères, offre à ton homme cette serpillère télécommandée. Au mieux cela incitera ton amoureux à t’aider de temps à autres en rendant l’activité ménagère ludique et rigolote. Il aura l’impression de faire un bond dans l’enfance lorsqu’il jouait avec sa petite voiture télécommandée et abîmait les pieds de la table à manger et marquait les plaintes des murs de traces de caoutchouc. Au pire, il réclamera une vraie voiture télécommandée, mais cela vous donnera (aussi) l’occasion de faire passer un message. 

Une Food box

Quitte à faire une overdose de boîtes, autant la faire avec des bons produits régionaux et/ou insolites. Dans l’idée, il y a la Corsican box qui propose des produits élaborés et fabriqués artisanalement en Corse. Une jolie façon de promouvoir le patrimoine culinaire insulaire. Pour les férus de fromage, il y a la box les nouveaux fromagers qui vous proposent 4 fromages d’exception par mois. Dans le même genre la box saucisson, My saucisson (à ne pas confondre avec la darling box) et enfin la Kitchen Trotter qui vous fait découvrir chaque mois un pays à travers des fiches de cuisine vous permettant de concocter des plats et menus exotiques avec produits produits fournis. 

Un bon cadeau pour un proche épicurien. Notez que vous n’êtes pas dans l’obligation de prendre un abonnement à l’année ! Vous pouvez, selon votre budget offrir un, deux, trois mois ou plus de box sans engagement.

Un livre

Offrir un livre marche toujours et fait toujours plaisir. Surtout si la personne à qui on l’offre aime lire… forcément. Bien sur il faut adapter le style et le thème du livre à votre cible. Une personne aime cuisiner ? Facile, prenez un beau livre de cuisine. Une autre aime les balades dans musées, à une appétence pour l’art et ce qui s’y attache? Les éditions Taschen font des merveilles et à prix très réduits (sans parler des éditions de luxe cela va s’en dire). Une personne aime le cinéma? Plutôt qu’un dvd (que la personne aura très certainement télécharger 10 mois plus tôt), prenez lui la biographie de son réalisateur préféré.

Éviter les grosses daubes comme les Zemmour, Trierweiler et autres torchons. Non seulement, c’est souvent mal écrit mais en plus cela donnera l’occasion de plomber le repas de fête en suscitant les débats pseudo-politiques. Alors même si on sait que chaque année on a droit aux sempiternels droite/gauche entre Tonton Jean et votre beau-père, autant éviter d’attiser le feu; il y en aura déjà un (et un vrai) dans la cheminée, et c’est largement suffisant. 

Le CD de la Bande Originale du film Les Gardiens de la Galaxie

Au delà de ce super film de super-héros Marvel au casting de fous, la musique des Gardiens de la Galaxie est tout simplement énorme. Tournant autour des années 60’s et 70’s avec des classiques de la musique anglo-saxonne tels que David Bowie, The Runaways, Marvin Gaye, les Jackson 5 ou encore Blue Swede, cette bande originale s’inscrit désormais dans les meilleures du cinema (avec Boulevard de la Mort, Tron, Virgin Suicide, Il était une fois en Amérique, etc., etc., etc.). Donc au final, vous avez le choix.

Et juste pour le plaisir, on vous en met un extrait :

Idées cadeaux pour les adolescents

Vous avez un neveux ou une nièce traversant les tréfonds de l’adolescence, son visage agrémenté de boutons vous rebute, ses dents baguées vous éblouissent; et malgré cela il vous faut bien offrir à ce merdeux un petit présent histoire de rester le tonton/la tata cool que vous êtes. Pas de panique, nous avons interrogé un panel de 10 adolescents âgés entre 11 et 15 ans en leur posant la question « qu’est-ce que tu souhaiterais recevoir pour Noël? ». Enfin, « pas de panique » c’est vite dit. Parce que si votre budget était de 20€ faudra qu’il se contente d’une coque de téléphone achetée chez le chinois du coin. Parce qu’en fait, ces chers petits amas de pustules sur pattes ont pour ainsi dire des goûts de luxe. Mais une chose est sûre, vous ferez mouche à coup sûr avec  :

  • Une PlayStation 3 ou 4. Oui, le débat faisait rage entre les deux consoles. Nous, on se dit qu’il vaut mieux attendre que plus de jeux  sortent sur laPlaystation 4 (dont la suite de Tomb Raider ou Uncharted 4) et la plupart étaient bien d’accord avec nous.  
  • Une veste ou un pull Stone Island
  • Une paire de Nike Huarache Run 
  • Des bijoux (une montre par exemple)

Bon, sinon, nous sommes désolés, mais nous n’avons pas mieux à vous proposer…Quand on vous dit qu’ils ont des goûts de luxe ces petites crapules…

Idées cadeaux pour petite fille ou petit garçon

Sans doute les plus simples êtres à satisfaire en terme de cadeaux. Un kit de pâte à modeler, une panoplie Spiderman, un kit Hello Kitty… Nous vous recommandons de vous rendre tout simplement dans un magasin de jouets. Mais attention de ne pas vous laissez tenter… La dernière fois que nous avons atterri dans un magasin de jouets nous avons ramené plusieurs boîtes de Lego, pour notre plus grand plaisir !

Grands enfants : Nos Lego
Grands enfants : Nos Lego

 

Et donc au delà du E-commerce et de ses (nombreux) avantages, il y a aussi les petites boutiques de quartiers. Et comme il s’agit d’une liste de dernière minute (sic), nous ne sommes pas sûrs que vos commandes arriveront à l’heure…Si cela peut vous rassurer, nous sommes dans la même galère que vous ! 😉 La meilleure  idée est donc peut être de partir à la rencontre des commerçants de quartiers !

Passez de Bonnes fêtes !

Pace é Salute !

NB : Article non sponsorisé !

Un maire élu grâce à une campagne de communication digitale

Le maire de Taipei

Ceci peut préfigurer de ce que sera la politique dans les années à venir. Nous pouvons déjà constater les effets d’un tweet ou un post Facebook d’une personnalité sur le débat public, mais on ne pouvait pas encore affirmer clairement qu’une victoire à une élection pouvait être en grande partie due aux réseaux sociaux. L’élection du nouveau maire de Taipei a prouvé la puissance que pouvait avoir Facebook et consorts sur l’opinion des ses concitoyens.

Dr Ko élu contre toute attente

Le Dr Ko vient d’être élu maire de Taipei. Taipei est la capitale politique et culturel de Taiwan. Elle compte plus de 2,4 millions et est particulièrement moderne. La particularité de Dr Kao est qu’il s’est présenté sous aucune bannière politique, seulement en qualité d’indépendant. Il faut savoir que le paysage politique taïwanais est composé de seulement deux partis: le Parti démocratique progressiste (DPP) et le Kuomintang (KMT). Un peu comme aux USA où il y a le parti démocrate et le parti républicain. Deux grands partis et peu ou  prou de places pour les autres.

Contre toute attente, le docteur Ko recueille 57 % des voix alors que son principal adversaire Sean Lien du Kuomintang n’en obtient que 40 %. Le voici donc maire de la capitale de Taiwan au nez et à la barbe des deux grands partis.

Une campagne 2.0

Ko, ne pouvant profiter des budgets « communication » des grands partis, a eu une stratégie moins onéreuse en investissant massivement les réseaux sociaux. Alors que les deux mastodontes dépensaient de grosses sommes dans les grands médias pour de la publicité, lui n’a payé que pour un seul spot publicitaire. Ses idées et ses messages électoraux  ont été publiés sur les réseaux sociaux.

Sa campagne, articulée autour de son statut de non partisan, est qualifiée de positive. Avec pour slogan comme « A Hug for Taipei » (un câlin pour Tapei), Ko wen-Jo joue à fond la carte de la bonne humeur. Il met aussi à contribution ses « followers » en les impliquant dans sa réflexion pour Taipai, les incitant à faire des propositions. Cette communication 2.0 appliquée à son électorat a eu son effet en lui faisant gagner des voix.

Il a aussi voulu jouer la transparence dans un état qui ne l’ai pas vraiment. En effet, il a fait publié sur le net sa comptabilité (voici le lien pour ceux qui liraient le chinois) de campagne au centime près.

Autant d’aspects positifs pour le peuple Taïwanais et surtout sa jeunesse. En basant toute sa communication sur Internet, il a touché sa cible préférentielle à sa savoir les jeunes. Que ce soit la récolte de fond ou la mobilisation de ses militants, tout a été fait sur le net.

Dr Ko maire de Taipai
Le Dr Ko a besoin de vous

A l’heure actuelle, il possède 630 000 fans sur sa page Facebook soit 110 000 de plus que François Hollande pour avoir un ordre d’idée. Sa femme, qu’il a mis à contribution lors de sa campagne, possède quant à elle 225 000 fans sur Facebook, ce qui est considérable.

Une campagne électorale ne se gagne peut être pas encore totalement sur le net, mais une communication 2.0 défaillante fait à coup sûr perdre. Il est bon de le rappeler car de nouvelles élections se profilent en France et nos élus locaux ou leurs aspirants devraient prendre exemple et se pencher véritablement sur les réseaux sociaux.

 

 

Les hommes politiques et les réseaux sociaux

Page officielle de Barack Obama

Les réseaux sociaux sont devenus des outils incontournables de communication; leur avènement est tel qu’ils pourraient prendre le pas sur les médias traditionnels.  Pour les personnages publics, et encore plus en politique, les réseaux sociaux doivent être considérés comme des outils professionnels de construction et de gestion de leur image. Et d’autant plus que la communication est au centre de toute stratégie politique. 

Avec l’accroissement  fulgurant d’internet, les hommes politiques l’utilisent de plus en plus à travers un site web ou blog personnel. Et les réseaux sociaux sont ainsi devenus plus importants qu’un billet d’humeur dans un blog.

Sans parler d’Obama et son armée de community managers, prenons juste l’exemple de Nicolas Sarkozy qui choisit Facebook pour s’exprimer après sa mise en examen. Il parle directement à son électorat, aux gens qui le soutiennent, à ses fans.

Nicolas Sarkozy sur facebook
Sarkozy en lien direct avec son électorat

Les réseaux sociaux au service de la politique et des hommes/femmes politiques

La politique n’atteint pas que les hautes sphères de l’état. Pour les élections régionales, des candidats de notoriété moindre  ont tout intérêt à utiliser avec intelligence ces réseaux sociaux.

En étant présent activement sur les réseaux sociaux :

Le politique est tout le temps en campagne.

Il construit son image et gère sa notoriété.

 Il peut  voir et entendre tout ce qui se dit à son encontre.  Il peut y répondre pour contrôler ce flux, adapter son discours en conséquence et mesurer sa popularité.  

Il voit ce que ce que font ses concurrents : il peut mettre sur pied un plan de riposte ou imaginer  une argumentation différente.

Il devient proche de son électorat, créant une certaine proximité.

Il construit sa propre communauté autour de son message politique. Il peut ainsi recruter ses sympathisants pour en faire des membres actifs de sa campagne.  Et ces mêmes sympathisants deviennent des ambassadeurs 2.0 au service de l’homme politique (à travers le partage de publications, les commentaires, etc.).

Il peut mettre en place des plans d’action rapidement.

Il diffuse son message auprès d’une large audience tel un haut-parleur numérique. Tout en sachant que les jeunes sont plus réceptifs sur les réseaux sociaux. 

Il démontre son appétence à l’innovation et aux nouvelles technologies (l’utilisation des réseaux sociaux étant associée à une image « moderne » et « dans le temps »).

Il renvoie une image active en rendant compte de ses activités (déplacements, réunions, interventions, etc.).

Il crée un lien avec les internautes en se montrant dans la vie de tous les jours.

Des limites dans l’utilisation des réseaux sociaux en politique

La frontière entre sphère privée et sphère publique disparaît : un hommes politique qui se lance sur les réseaux sociaux doit accepter de communiquer sur sa vie personnelle en publiant des images de sa famille, de ses hobbies, etc.

Dans l’usage qu’ont les français des réseaux sociaux, ceux-ci ont plutôt tendance à dénigrer les représentants politiques. Une « gaffe », une « petite phrase » sortie de son contexte peut rapidement se propager sur le net; l’homme politique devenant alors la cible de railleries. D’où la nécessité d’effectuer une veille permanente et active sur ce qui peut être dit afin de tirer avantage d’une situation donnée.

De même, les français sont moins impliqués en politique sur les réseaux sociaux. En construisant une communauté autour du message politique, et donc en favorisant les échanges, l’homme politique sur les réseaux sociaux brise de facto ce biais.

Tout contenu posté en ligne est susceptible de susciter un emballement médiatique et émotionnel fort qu’il faut maîtriser. D’où la nécessité de conceptualiser une stratégie clairement établie avant de se lancer « tête baissée » sur l’espace internet.

L’espace internet doit être considéré de la même manière qu’une place publique. Tout comme la préparation d’un discours ou d’une intervention à un meeting, la communication d’un homme politique sur internet et les réseaux sociaux ne doit pas s’improviser. En adoptant les codes des réseaux sociaux, un homme politique peut faire de cette communication un rempart contre les dérives caricaturales. La communication « social media » est un moyen pour construire un lien fort avec les citoyens; si et seulement si le lien est réel. Une communication programmée et maîtrisée ne doit pas pour  autant omettre la variable « sincérité », et pour cause…

Nadine Morano et Twitter

Nadine Morano, pour ceux qui ne la connaissent, est une femme politique de droite réputée pour son franc-parler. Elle adore tweeter.  Bon gré malgré, sa communication n’est pas maîtrisée ce qui engendre bien souvent un bad buzz. Ces fautes d’orthographes ou ses approximations sont raillées sur le net. Une bonne gestion des médias sociaux est un avantage pour un personnage publique. Mais cela peut aussi le desservir.

Nadine Morano et les fautes de conjugaison
Nadine Morano et les fautes de conjugaison
Conjugaison bis...
Conjugaison bis…

Alain Juppé et sa communication maîtrisée

Sans être la machine de guerre Sarkozy et sa horde de communicants à l’affût du coup médiatique permanent, Alain Juppé trace sa route en maîtrisant parfaitement l’outil internet. L’ancien premier ministre a été l’un des premiers à s’intéresser au monde digital en créant son blog au début des années 2000. Sa communication est à son image: réfléchie, où le fond prend le pas sur les annonces racoleuses. Son blog a d’ailleurs plus de 1000 visites par jours. Il n’est jamais dans la polémique gratuite et toujours dans le retenue avec un certain flegme.

Peu importe que ce soit pour une « petite » candidature aux municipales ou la course à la présidence de la République, les médias sociaux ont changé la donne. Internet est devenu en quelques années seulement un enjeu majeur pour tous les hommes politiques. Il se murmure dans les petites villes que certains candidats aux Municipales sont parvenus à décrocher le « titre » grâce à leur maîtrise des réseaux sociaux (du moins la maîtrise qu’ont eu leurs communicants); toutefois, les médias traditionnels locaux ne sont pas à négliger car ils restent également un moyen pour toucher facilement ses cibles. Tout comme se rendre sur les marchés pour aller à la rencontre physique des citoyens et se rendre compte de leur quotidien.

La stratégie de communication de J.J. Abrams autour de Star Wars

Les premières images de Star Wars épisode  VII baptisé « The force awakens » (ou l’éveil de la force, selon mon modeste niveau d’anglais) seront diffusées dans un nombre limité de salles de cinéma aux Etats-Unis ce vendredi (mais aussi sur Itunes) . Autant dire que, comme pour la « Menace fantôme », beaucoup de fans paieront leur place uniquement pour voir cette bande annonce. C’est un beau coup marketing pour Disney car le film qui suivra n’est autre que « Les nouveaux héros », leur nouveau film d’animation. Ils sont forts chez Disney tout de même.

Depuis l’annonce du rachat LucasFilm par Disney et la mise en chantier de nouveaux films Star Wars, c’est l’effervescence dans l’immense communauté des fans. On va avoir droit à une nouvelle trilogie faisant suite à celle originelle ainsi que de plusieurs spin-off . Les rumeurs vont bon train sur ce que pourrait être le scénario de tous ces films, toutes aussi plausibles que farfelues. Luke a-il basculé du coté obscur?  Le premier spin off aura-t-il pour trame principale le vol des plans de l’étoile noire et serait donc un prequel à l’épisode IV? Jar Jar est-il mort dans d’attroces souffrances? Autant de questions qui fusent sur le net. Comment rassurer les fans du monde que l’univers Star Wars ne perdra pas son âme avec Disney aux commandes (même si pour certains la prélogie a déjà violé les fanboys). Surtout après le denis de l’univers étendu (livre, bande dessinée, jeux vidéos). Car il était établi que l’univers étendu, approuvé par Georges Lucas faisait partie d’un seul et même ensemble. Donc pas d’épisode VII avec l’amiral Thrawn… snif  (à priori…). Et pas de Mara Jade non plus…

le cycle de Thrawn
Couverture du roman faisant suite au « Retour du jedi »

Mais fort heureusement, les producteurs ont compris l’impact qu’un nouveau Star Wars pourrait avoir dans le monde. Ils ont mis en place une stratégie de communication digitale de grande envergure en investissant les réseaux sociaux d’une manière aussi subtile qu’efficace. En se servant des avantages du net 2.0, les producteurs et le réalisateur J.J. Abrams impliquent les fans dans cette chasse aux indices. De ce fait ils controlent intelligemment les fuites d’informations. Bien que Disney  et Lucas Film aient pas mal d’expérience dans le domaine, c’est bien la société de notre chère Abrams, Bad Robot qui semble chapeauter le tout avec maestria.

La stratégie transmédia de JJ Abrams

 Le buzz Lost

J.J. Abrams n’en est pas à son coup d’essai. Petit rappel pour les néophytes, J.J. est celui derrière les séries Alias, Fringe et surtout Lost. Lost, son lancement en 2004, avait crée le buzz sur internet. Avec sa société de production Bad Robots, il avait crée tout un tas de sites ou de références comme par exemple le site internet de Oceanic Airline (la compagnie aérienne fictive du crash) ou même une page fan du groupe de rock de Charlie Pace  (http://iheartdriveshaft.blogspot.fr/). Il avait crée un véritable jeu de piste pour l’internaute qui voulait aller plus loin dans l’intrigue, car la série pouvait être plus qu’avare en explication. Malgré que la fin soit comment dire, insuffisante, Lost aura attisé la curiosité des fans du monde entier cherchant des réponses inlassablement, partageant sur les réseaux sociaux ou les forums leurs différentes théories. J.J. et son équipe avait réussi un coup de maître empêchant une annulation prématurée grâce à cette base d’addicts. Pour Fringe il utilisera la même recette (rappelez vous les images subliminales) pour créer des interactions avec les téléspectateurs. Il est donc un spécialiste des stratégies transmédias, c’est à dire qu’il développe son concept sur différents médias (télévision, internet, jeux vidéo etc…) apportant un degré de lecture différent à chaque fois.

D’ailleurs, il a écrit un livre totalement dans cette esprit interactif mais cette fois-ci le média littéraire. Le roman S sorti l’année dernière est une véritable curiosité, un livre dans le livre.  Voici le teaser vidéo au cas où cela intéresserait quelqu’un pour les fêtes de noël.

Bad Robots roi du viral marketing

Sa société de production est aussi une spécialiste dans le teasing. Le teasing est une technique de communication en plusieurs étapes qui vise à éveiller la curiosité et à susciter une attente. On dévoile petit à petit le projet tout en restant mystérieux.

Mais ici, cette notion de teasing est exacerbée par la viralité que peut conferer  internet. En effet, Bad Robots est passé maître dans l’art  de faire le « buzz ». La stratégie est simple mais diablement efficace: mettre en ligne une vidéo énigmatique et la partager sur les réseaux sociaux tout en entretenant un background mystérieux. Cela attise indubitablement la curiosité de l’internaute ce qui le pousse à interagir, et donc à partager ce lien. Tout le monde se souvient de la campagne virale autour de « Cloverfield » ou de « Super 8 » deux productions estampillées J.J. Abrams.

La communication autour de l’épisode VII

Abrams est celui qui a déja ressucité avec succès la franchise Star Trek.  Il lui faut maintenant convaincre les fans de Star Wars qu’il est bien l’homme de la situation et le garant de cette institution. Sa stratégie de communication est pour cela parfaitement huilée. Même s’il doit composer avec Disney et Lucas Film, on sent bien la patte Bad Robots.

Après la fuite d’images du tournage montrant ce qui semble être le Faucon Millenium ,  J.J., plutôt que d’utiliser les habituels organes de presse, répond sur Twitter avec humour. Cela n’a rien d’anodin, il sait qu’en agissant ainsi il instaure un dialogue pour impliquer les fans. Un démenti aurait eu moins d’impact.

« Je voudrais que les gens arrêtent de publier des photos volées de l’épisode VII. Et de faire des allégations ridicules à propos du fait que le Faucon Millenium soit le film. J.J. » Ce message est assez distant sur la forme  mais c’est sans compter sur l’élément du décor sur lequel est posée la note. Les fans invétérés (dont Mad Monkeys) auront remarqué la table de Dejarik sur lequel JJ a posé son papier. Le Dejarik est un jeu de stratégie se jouant sur un damier (une sorte de jeu d’échec avec les créatures de l’univers Star Wars), or Chewbacca et C3PO y jouent dans le … Faucon Millenium.

JJ utilise ce stratagème régulièrement comme lors l’annonce du gagnant du concours Force For Chance organisé par l’UNICEF.

Mais à qui appartient cette main? Est ce celle de Luke? Celle d’un nouveau droid? Celle du grand méchant? Et si le grand méchant était Luke ?

D’ailleurs avec cette campagne caritative Force For Chance visant à récolter des fond pour l’UNICEF, le réalisateur a encore joué sur ce fan service au travers de deux vidéos. Ces vidéos servent avant tout à motiver les fans à faire un don mais pas que…

 

Cette campagne caritative a eu son petit succès. L’appel aux dons pour l’UNICEF est bien sure un élément moteur mais la façon dont il les motive est dans la même veine que ses tweets. Il appelle à la générosité depuis le plateau de tournage en incluant en arrière plan des références à l’univers de Georges Lucas. C’est une façon ludique encore une fois d’impliquer les fans dans le processus de création et d’aussi contrôler les fuites.

Mais J.J Abrams n’est pas le seul à utiliser internet de cette manière dans l’industrie du cinéma. Zack Snyder, par exemple, utilise son compte Twitter pour publier régulièrement des photos de ses tournages. Le réalisateur de « Batman v Superm.an » est aussi un grand fan de Star Wars (il était aussi préssenti comme réalisateur) et il a décidé de s’amuser avec les gars de Bad Robots en mélangeant l’univers DC et celui de Star Wars.

La réponse d’Abrams n’a pas tardé avec cette vidéo du Faucon Millenium.

Il fait d’une pierre deux coups avec l’officialisation de la présence du vaisseau de Han Solo mais il place aussi la Batmobile sur la structure pour le clin d’oeil à DC. On peut noter que Bad Robots est assez libre dans sa façon de communiquer vu que DC appartient à la Warner et Star Wars à Disney soit deux concurrents directs.

 

Roi dans sa communication 2.0 et maître dans l’art du teasing, Bad Robots va régulierement nous alimenter en informations sur les réseaux sociaux jusqu’à la sortie en décembre 2015. En tout cas notre agence de communication suivra avec intérêt JJ Abrams tout au long de cette année.

May the Force be with Mad Monkeys Consulting

Twitter et les footballeurs

Joey l'anglais

Cela ne vous a sans doute pas échappé, mais beaucoup de Footballeurs utilisent les réseaux sociaux; notamment Twitter qui semble être leur second terrain de « jeu » avant et après un match…

Comme chacun sait, le football jouit d’une exposition médiatique de tous les instants. Le footballeur de haut-niveau est devenu un personnage public au même titre que les artistes ou les hommes politiques. Ils partagent avec les politiques le maniement de  la langue de bois. Combien de propos recueillis par Laurent Paganelli sur le bord du terrain sont d’une platitude extrême comme le sempiternel « le coach nous a dit de rester en place » ou  « c’est surtout l’équipe qu’il faut  féliciter ». Bien peu de joueurs arrivent à balbutier des propos pertinents en interview d’après match ou même en conférence de presse. Ces robinets d’eau tiède en short sont formatés pour ne balancer que des banalités politiquement correctes pour ne froisser personne et ne pas s’attirer les foudres des médias. Ils sont dans une logique de salarié et ne veulent surtout pas nuire à leur employeur par crainte de leur avenir au sein de leur club respectif.

Il faut dire que dés le centre de formation, les apprentis footballeurs suivent des cours de « media training ». Il apprennent à répondre aux médias d’une façon uniforme. Les attachés de presse sont aussi là pour les freiner dans leur communication, les empêchant ainsi d’être natures. En effet, le club a souvent au moins un attaché de presse auquel s’ajoute – selon sa notoriété – un autre conseiller personnel. Si bien que pour avoir une parole sincère, c’est la croix et la bannière. Le sport de haut-niveau du fait des enjeux financiers est devenu aseptisé.

Il n’existe plus de McEnroe, ni de Georges Best ou Cantona, des sportifs au verbe haut et à la parole libre. Souvenez-vous de l’histoire de la mouette…

Bien sur, il y a des cas particulier comme Zlatan Ibrahimovic ou Samuel Etoo (dans un concours du plus gros melon des plus rafraîchissants)  incapable de donner dans la langue de bois. Et encore…

Mais depuis l’avènement de Facebook et le boom Twitter, la donne a quelque peu changé. Les footballeurs ont pour la plupart investi les réseaux sociaux. Bien souvent, la communication des joueurs passe par leurs comptes Twitter. Il y a ici deux écoles, les joueurs qui font gérer leur image par des professionnels de la communication et d’autres qui s’en chargent eux même.

La com gérée par des professionnels

Les grands joueurs – du moins les plus connus – ont derrière eux de vraies entreprises pour gérer leur image. Leo Messi a crée – avec son père et son frère – « Leo Messi Management » afin de s’occuper de sa communication et de ses contrats publicitaires. Les enjeux financiers sont tels, qu’une seule erreur de communication peut faire perdre des sponsors et d’autres sources de revenus. C’est entre autre pour cela que tout est contrôlé.

Autre exemple, avec l’opération marketing de Nike pour ses nouvelles chaussures « Mercurial ». Ils ont fait interagir les comptes Twitter de deux joueurs emblématiques de leur écurie, Eden Hazard et Zlatan Ibrahimovic. On a ici un usage des réseaux sociaux à des fins mercantiles, le but étant de faire de la pub aux nouveaux crampons.

Twitter hazard

Twitter Zlatan

 

Les réseaux sociaux sont censés créer un dialogue et  une proximité entre la star et ses fans. Or, quand on sait que se ne sont même pas les joueurs qui twittent eux-mêmes, une sorte de désamour peut se créer. Pourquoi suivre Messi sur Twitter quand on sait que ses Twittes sont savamment étudiés par une équipe de communicants. Qui plus est quand un de ses sponsors est derrière ces 140 caractères aseptisés.

On attend d’ailleurs avec impatience le prochain tweet sur le compte de Zlatan pour nous présenter ses nouveaux crampons… (celui-ci étant actuellement en train de changer de sponsor)

 

 Et  puis, il y a les authentiques…

Nous parlons ici de ces joueurs connus des amateurs de football sans pour autant être des stars Interplanétaires. Ceux qui ont encore le droit de s’exprimer librement et twitter ce qui leur passe par la tête. Des hommes libres, qui de par cette liberté d’expression gagne en sympathie. Le cas de Joey Barton est celui qui decrit le mieux ce que les réseaux sociaux sans filtre peuvent faire pour la cote d’amour d’un joueur.

Joey Barton est sale mioche des quartiers pauvres de Liverpool comme Wayne Rooney ou Steven Gerrard. Formé à Manchester City avant l’arrivé des petrodollars, il en devient rapidement un maillon essentiel. Les fans des Skyblues vantent son abnégation et son agressivité. Mais le bon petit Joey est aussi agressif sur le terrain qu’en dehors. Plusieurs polémiques sont à son actif comme le tabassage de son coéquipier Dabo ou bien l’écrasement d’un cigare dans l’oeil d’un autre. Il fait un petit séjour en prison pour avoir agressé deux personnes dans la rue. Joey n’est – en somme – pas un enfant de cœur, que ce soit sur et en dehors du terrain. Malgré cela, il est suivi par 2,7 millions personnes sur twitter soit 1,5 millions de plus que Benzema. Bien évidemment, ce n’est pas les 31 millions de CR7 car ce chiffre est à mettre en perspective par rapport au fait que Barton n’est pas un grand joueur ni même un international anglais régulier (1 seule cape il y a 8 ans). C’est un joueur moyen n’ayant jamais joué dans une top team. Par contre il est très populaire sur les réseaux sociaux car Joey a un avis sur tout (politique, philosophie, culture…) et aime les clash par twitter interposé. Petit florilège en VO.

Joey vs le monde entier
Joey vs Israel
Joey vs Neymar

Joey vs Pierre Ménes

  Joey tweette beaucoup, peu être trop mais il prend le temps de répondre à ses fans et même ceux qui l’insultent. Un type beaucoup plus fun à suivre que les hommes sandwichs que sont Messi ou Cristiano Ronaldo. Joey n’est heureusement pas le seul à tweeter avec ses propres petits doigts. Balotelli plus talentueux et tout aussi fou que Barton sévit aussi sur twitter. Lui aussi est à la recherche du conflit (du buzz?).

Twitter de Super Mario Balotelli

Par ailleurs, à la suite de ce tweet, il a subi plusieurs insultes, malheureusement racistes…

Un autre joueur anglais d’envergure intéressant à suivre sur Twitter. Moins dans le conflit que Barton mais tout aussi mordant et pertinent, il s’agit de Rio Ferdinand. Il a été un grand joueur, surement le meilleur défenseur central anglais de ces 15 dernières années mais il n’a jamais été  aussi populaire qu’un Ronney, à cause sans doute de son poste sur le terrain. Néanmoins, et grâce à Twitter, on voit qu’il a la tête bien pleine et n’a besoin de personne pour s’occuper de ses réseaux sociaux.

… et les proches des joueurs

Les proches des footballeurs ne sont pas soumis au même diktat en terme de communication. Ils ne sont pas format »s et sont bien maîtres de leur parole. Et bien souvent cela dérape. Pour la dernière coupe du monde, nous avons eu en France quelques exemples de proches qui ont exprimé leur frustration envers le sélectionneur Didier Deschamps. En effet, la compagne de Nasri et la soeur de Gignac l’ont insulté publiquement à travers leurs tweets sous prétexte  qu’il n’avait daigné les sélectionner parmi les 23. Nadine Gignac a tout simplement traité Descahamps de « beau fils de p** » avant d’effacer son tweet. Surement après avoir un coup des fils des conseillers en communication de son frère. La communication de Samir Nasri lors de sa non-sélection est restée sobre, dictée là encore par des professionnels. Lui, habitué aux coups de fer et de sang et autres caprices, sa réaction est pour le moins soft. Inutile d’irriter plus le sélectionneur : 


Tout le contraire de sa compagne Anara Atanes qui n’y est pas allée avec le dos du pouce. On vous épargne la traduction…

Compte Twitter d'Anara

 

D’un coté, on z la communication sobre de Nasri et de l’autre celle sans filtre de sa compagne. Autant dire qu’il faudrait envisager de former leurs proches quand à l’utilisation des réseaux sociaux. Anara égratigne encore de temps en temps le sélectionneur sous le regard bienveillant de Nasri.

En définitive, les réseaux sociaux font désormais partis de l’attirail du footballeur. Il faut savoir les maitriser ou faire appel à des personnes qui le feront pour eux. Les réseaux sociaux doivent normalement créer une proximité avec ses fans et sont des zones d’échanges avec la star auparavant inaccessible. Or, pour les très grands joueurs ou du moins ceux qui drainent le plus d’argent, c’est un nouvel outil marketing d’une efficacité redoutable. D’autant plus que de nouveaux réseaux sociaux dédiés au sport ont fait leur apparition : sportlobster et goaleo.com.

Pourquoi utiliser Vine pour votre entreprise ?

vine

Et si votre entreprise intégrait Vine dans sa stratégie social média ? 

Vine est une application mobile permettant de créer des vidéos de 6 secondes maximum. C’est un service de micro blogging au même titre que twitter ou tumblr. À la différence que celui-ci permet de publier des mini vidéos. On peut ainsi partager ces vidéos sur d’autres réseaux sociaux, notamment Twitter (Vine lui appartenant).  Vine est à la vidéo ce qu’Instagram est à la photo. La facilité d’utilisation est le moteur de son succès. En effet, il suffit d’un simple smartphone muni d’une caméra et d’un peu d’imagination pour se lancer.

Le contenu social média devant être en perpétuel évolution, la vidéo s’est affirmée comme l’un des éléments clés de l’espace Internet. En comprenant cet engouement pour les objets audiovisuelles, les entreprises ont investies du temps, des ressources et de l’argent à la création de vidéos. Elles ont vite compris (et il y a longtemps) le pouvoir d’attraction de ce support sur ses potentiels clients.

C’est à ce moment que Vine entre en jeu. Vine a littéralement changé la façon de penser une vidéo pour les marketeurs. La viralité de ces vidéos, le fait qu’il n’y ait plus de contrainte – si ce n’est le manque de créativité –  ont fait le succès de Vine. De nombreuses entreprises ont franchi le pas afin de créer et d’engendrer une sorte de sympathie autour de leur marque.

3 principales raisons pour une entreprise d’être présente sur Vine : 

Le contenu visuel booste les campagnes marketing

Toutes les statistiques le démontrent :  les marques peuvent atteindre facilement un large panel de personnes avec du contenu visuel sur internet. Un récent rapport de Cisco suggère que le format vidéo va par ailleurs compter pour 69 % du trafic internet d’ici 2017.

La logique derrière ces chiffres est claire : les informations sont assimilées plus rapidement avec une vidéo. De plus, les internautes sont plus enclins à partager une vidéo qu’un article. Si bien qu’un nombre croissant de consommateurs affirment qu’une vidéo renforce la confiance qu’ils ont pour une marque. Et cela se répercute nécessairement sur leurs achats.

Avec la révolution des Smartphones, la vidéo est devenue de plus en plus accessible. Cette popularité va croître de façon exponentielle. Le format audiovisuel est un média des plus puissants et familiers qui demande moins de temps et d’attention qu’un article écrit : Seul la vidéo permet d’atteindre rapidement les émotions de chaque consommateur. 

Les coûts sont moins importants qu’auparavant

Avant, il fallait que l’entreprise s’attache les services d’une société de production audiovisuelle pour filmer et produire la vidéo. Aujourd’hui, il y a Vine.

Vine a été conçu de façon à ce que chacun puisse éditer des vidéos sans moyens professionnels. De ce fait, l’interface de l’application est épurée à son maximum (peu d’options de montage et pas de filtres, sauf avec des extensions). La durée de 6 secondes limite également les coûts. Vine a été créée pour être rapide, facile et accessible à tous, du professionnel aux enfants.

Tout comme Twitter qui a changé les règles de la communication avec ses caractères limités, Vine re-invente la vidéo en forçant l’utilisateur à être plus créatif et capturer l’attention en très peu de temps. Alors qu’il y a 5 ans, tout ceci était purement impossible.

Les vidéos Vine sont partagées quatre fois plus que les autres vidéos online

C’est l’argument principal :  la vidéo que vous publiez sur Vine a vocation à être virale. Pas seulement parce que c’est facile et peu onéreux mais surtout parce que ces vidéos sont 400 % de fois plus partagées que d’autres formats vidéos. Et ce n’est pas tout, 9 tweets incluant une vidéo Vine sont envoyés chaque seconde de chaque jour.

Un groupe Facebook qui diffuse les « Best Vines » cumule 22 millions de fans. L’un des facteurs majeurs de cette popularité est le fait que cela ne prend que quelques secondes pour les visionner.

Le principe du « loop » n’est pas à négliger. La « loop » est la boucle de la vidéo, la lecture de celle-ci ne s’arrête jamais recommençant sempiternellement jusqu’à ce que l’internaute passe à autre chose. De ce fait la vidéo est facilement vu deux ou trois fois d’affilées sans y prendre garde. Un message intelligent et ludique de votre marque aura plus de chance d’être vu et partagé que sur Youtube par exemple.

Beaucoup de marques utilisent déjà Vine à bon escient. Mais dans quels buts les entreprises diffusent-elles des Vines?

1/Pour montrer ses produits

La façon la plus simple d’utiliser Vine est de montrer son produit. Pas très compliqué mais assez efficace en terme de message. Prenons l’exemple de « Red Vines » – une des premières marques à avoir pris au sérieux Vine – une friandise US aromatisé au raisin. On vous invite d’ailleurs à prendre en exemple ce compte Vine tant il est inventif et fun.

 Red Vines, Le jeu de mot semble évident  :

   

2/ Pour créer une proximité

En montrant l’envers du décor de sa société, on crée de l’empathie. On familiarise, on engendre une sorte d’intimité avec le client. La chaîne météo américaine « the weather channel » montrant ses locaux avec un coté « behind the scene » : 

 

  3/Pour expliquer comment utiliser ses produits

Une sorte de mini tutoriel ludique et souvent humoristique qui montre comment utiliser correctement votre produit. Le hashtag #howto (comment faire) est d’ailleurs des plus couramment utilisés sur Vine. Cela peut être utile si votre produit doit être assemblé ou bien s’il faut l’utiliser selon certaines conditions.

L’une des marques leader dans la catégorie des #howto est l’américain Lowes (l’équivalent du Leroy Merlin US) avec un bon nombre de Vines explicatifs :

 

4/Pour faire du teasing

Quelquefois certains visuels peuvent réellement créer une excitation sur les consomateurs à propos d’un nouveau produit. Le teasing est  assez commun sur Vine. Nintendo qui utilise Vine pour donner à ses fans un avant gout de leurs prochains jeux-video en déballant le packaging : 

 

5/ Pour célébrer un événement

Faire une vidéo Vine pour des événements tels que la St valentin ou Halloween renforce le sentiment d’appartenance à la marque. Bien plus que cela, ce genre de petites attentions augmente son capital sympathie auprès des consommateurs et indirectement les ventes.

General Electrics – très présent sur Vine –  et sa célébration d’Halloween :

6/Pour partager son histoire

Chaque entreprise a son histoire. La raconter permet de faire comprendre que vous connaissez vos clients, vos produits et vos services. L’histoire d’une entreprise renforce la confiance qu’un consommateur aura pour la marque. Gap qui utilise Vine pour montrer l’évolution de tous ses jeans depuis 1969 :  .  

7/Pour amener du monde dans vos commerces

Si vous avez un magasin ou un commerce, Vine peut éventuellement permettre d’augmenter le trafic physique dans celui-ci. Le but ici est de montrer à vos fans combien c’est agréable d’être votre magasin , restaurant etc…

Urban Outfitters a posté des vidéos de groupes live jouant dans ses magasins :

.

 

8/Pour créer un concours

 

Vos followers peuvent ainsi créer leur propres vidéos selon une thème précis. Cela permet de renforcer le sentiment d’appartenance à votre marque en plus d’améliorer votre image. Cela mettra aussi à contribution les internautes pour ajouter du contenu sous votre nom.

 

Michelin a crée un concours ayant pour thème la prévention routière avec le hashtag #michelinyoungdrivers.  Michelin fait d’une pierre deux coups avec ce coté préventif améliorant son aura :

  9/ Pour tout simplement amuser son audience

 

Le but premier de Vine est le divertissement. Si vous voulez que votre vidéo deviennent virale, il faut être sûre que celle ci soit amusante.

 

MailChimp prestataire incontournable pour le mailing marketing, d’une part parce que la mascotte est un singe mais aussi car la vidéo est hilarante d’absurdité :

Ou bien le jeune compte Vine de Mad Monkeys Consulting, car on s’amuse beaucoup ici aussi :

 

 

Et pour conclure !

Vine peut être un formidable outil pour les entreprises afin d’améliorer leur image auprès des consommateurs. Mais pour cela il faut être assez créatif pour amuser tout en faisant passer un message commercial. 

Et surtout cela dépendra bien évidemment des objectifs de la marque, de l’entreprise et de sa cible. Bien que Vine totalise 40 millions d’inscrits, on distingue entre 10 et 15 millions de comptes actifs. Et puis essentiellement utilisé en Amérique du Nord. En France, Vine serait le 17ème réseau social le plus utilisé (donc loin, très loin, très très loin, derrière les traditionnels). Toutefois, il y a peut être une carte à jouer si on parvient à cibler les utilisateurs présents…

Mad Monkeys Consulting présente son compte Vine

Vine Mad Monkeys Consulting

Notre compte Vine est ouvert depuis quelques jours seulement. Notre première vidéo rend hommage au célèbre film Shining de Stanley Kubrick. Bon, ok, hommage est un très très grand mot, on vous l’accorde. Toutefois, nous nous sommes beaucoup amusés à la réaliser.

Nous souhaitions  faire un clin d’oeil à la dernière pub IKEA Singapour ainsi qu’aux Simpsons qui – eux – ont célébré avec brio le réalisateur d’Orange Mécanique et de 2011, L’odyssée de l’espace (pour ne citer qu’eux) dans le cadre d’Halloween. Ce n’était d’ailleurs pas la première fois que le créateur des Simpson rendait hommage à Stanley Kubrick. Bien avant le fabriquant de meuble suédois, Matt Groening faisait référence à Shining dans ses horror show (épisodes d’Halloween).

Quand Matt Groening rend hommage à Stanley Kubrick
Vous prendrez bien un verre de Moloko Plus?

 

Mais revenons à nos moutons… à savoir notre présence sur  Vine.

Vine : qu’est-ce que c’est ? (au cas où…)

Oui, on dit « au cas où » car Vine est une application mobile gratuite créée par Dom Hofmann et Rus Yusupov il y a déjà 2 ans. Vous avez donc certainement dû en entendre parler. Elle permet à ses utilisateurs de réaliser et de monter très facilement des toutes petites vidéos de 6 secondes maximum. Et ainsi de les partager directement sur son compte Vine et/ou sur ses comptes twitter et Facebook associés. L’aspect social de Vine se retrouve dans la possibilité d’interagir avec les autres utilisateurs à travers la possibilité d’aimer les contenus qui défilent  via le smile (sorte de like), de commenter, de relooper (sort de RT),  et bien sur de créer sa propre communauté en suivant (et en se faisant suivre) par d’autres viners.

Dans un prochain article, nous vous donnerons la liste des viners qui nous font marrer. Il est à noter par contre du côté « addictif » de Vine. Les vidéos qui s’affichent sur votre flux – défini préalablement par le choix de catégorie (humour, art, etc.) – tournent en boucle. Vous êtes limite hypnotisés. C’est simple, quand vous ouvrez l’application, vous entrez dans un espace spatio temporelle où le temps n’a plus de limite; et où vous êtes happés par les vidéos suivantes.

Bref, vous êtes prévenu.

Et Mad Monkeys Consulting dans tout ça ?

Notre utilisation de cette application ne fait l’objet d’aucune démarche stratégique. On vous le dit en toute transparence : Nous y sommes pour nous amuser (et éventuellement amuser ceux qui nous suivent, suivront ou tomberont sur nos mini vidéos par hasard). Notre dernière vidéo en atteste :

Par contre, une marque ou une entreprise peut tout à fait utiliser Vine dans le cadre d’une stratégie digitale !